Les paroles de la chanson
« Eh connard »
Keny Arkana
Tu t’rappelles quand tu disais que j’ faisais partie d’ces gosses qui ne s’en sortiront jamais, intenables et bien trop féroces
Qui salissaient ton centre, tentant d’obéir au doigt et à l’oeil et qui n’avaient que des cendres et un besoin de vivre à cent à l’heure
Tu t’rappelles, quand tu disais qu’ j’atteindrais pas les seize piges et que j’finirai morte dans un coin de rue où j’laisserais l’âme
D’une gosse perdue qu’en avait plus rien à carrer ou un avenir en cellule derrière les barreaux ou chez les tarés
Eh connard, Tu t’rappelles quand tu pensais, clamais qu’ jétais bonne qu’à fuguer, qu’à faire la conne ou à m’ défoncer
L’exemple à n’ pas suivre, celle que les lois haïssaient, pointaient du doigt et qui depuis ses douze piges n’est plus scolarisée
Bref la totale, Tu t’rappelles que quand tu parlais de moi, tu parlais jamais au futur, putain, j’en avais marre des fois de toutes ses conneries
Mais regardez, sois pas dégoûté mais j’ suis en vie et j’regrette pas de t’avoir jamais écouté!
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Dis-moi tu t’reconnais? Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler
Celui qui sait tout et c’est surtout pour détruire les gamins ou l’espoir des parents, connard, personne ne peut prétendre demain
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Et J’ai pas oublié, t’inquiète, ni tes coups d’pute
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent
Le peu d’espoir qui reste quand toi tu dis qui y en a plus
Moi j’m’en fous, j’t’ai jamais écouté mais ma mère elle t’a cru!
Tu t’rappelles quand tu lui disais qu’mon cas était irrattrapable et que
rejoindre le droit ch’min j’en étais bien incapable, c’était : ’’On n’peut plus sauver cette sauvage, madame Vocifère ’’
Mais qu’est-ce t’as cru? Qu’t’allais m’sauver, toi? ou ton Lucifer?
Qu’est-ce tu croyais? Qu’on aide les mômes à base de dressage? Mais toutes vos institutions mènent à la perte, tu s le message?
Alors si tu crois toujours, pour gagner l’obéissance c’est par la force que ça s’passe C’est qu’t’es toujours aussi insensé!
Eh connard, pour nous assagir c’était quoi tes méthodes? Ah ouais! Droguer les mômes en gonflant leur tête de médocs
Eh connard! Trop facile de faire gober des neuroleptiques à des p’tits teigneux devenus légumes par ta camisole chimique
Eh connard! A tes yeux on était quoi tous? Juste d’la mauvaise graine, hein?
Que t’écrasais, histoire que rien n’pousse
Avec fourberie deuxièmement à charge de revanche, tu peux toujours prier ton diable qu’aucun d’entre nous se venge!
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Dis-moi tu t’reconnais? Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler
Celui qui sait tout et c’est surtout pour détruire les gamins ou l’espoir des parents connard personne ne peut prétendre demain
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Et j’ai pas oublié, t’inquiète, ni tes coups d’pute
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent
Le peu d’espoir qui reste quand toi tu dis qui y en a plus
Moi j’m’en fous, j’t’ai jamais écouté mais ma mère elle t’a cru!
Tu t’rappelles lorsque t’ordonnais avec ta malveillance qu’aucun éduc’ ne devait m’laisser une seconde sans surveillance
De peur que j’parte, qu’est-ce qui a? tu croyais qu’j’allais m’laisser mourir dans ton enclos? Ou attendre que quelqu’un vienne me secourir
Nan, mais qu’est-ce que tu croyais? Qu’on soigne un feu avec d’l’alcool?
Marcher à la baguette, moi j’t’en foutrais des piqûres d’alcool
Car t’avais pas l’droit, et ça tu l’sais très bien, d’ailleurs qu’j’pourrais traîner d’vant tes tribunaux tes pratiques de tirailleurs
Mais bon c’est pas dans mes principes, la roue tournera pour toi aussi et tu t’rappelleras ce jour-là d’moi et des autres p’tits indociles
Car y a une justice là-haut, plus que votre système et on finit toujours par payer les effets des choses qu’on sème
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Tu t’reconnais? {x5}
Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler
Celui qui sait tout et surtout pour détruire les gamins ou l’espoir des parents, connard personne ne peut prétendre demain
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Et j’ai pas oublié, t’inquiète, ni tes coups d’pute
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent
Le peu d’espoir qui reste quand toi tu dis qui y en a plus
Moi j’m’en fous, j’t’ai jamais écouté mais ma mère elle t’a cru!
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Dis-moi tu t’reconnais? Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler {x2=
J’regrette pas ( Et nan, Et nan ) de t’avoir jamais écouté! (eh connard, eh connard, eh connard, eh connard, eh eh dis-moi tu t’reconnais? )
J’regrette pas ( nan nan nan nan nan ) de t’avoir jamais écouté! (eh connard c’est à toi qu’j’parle! Eh! Directeur de centre et d’maisons d’enfants, enfoiré ha )
La roue tourne connard!
Qui salissaient ton centre, tentant d’obéir au doigt et à l’oeil et qui n’avaient que des cendres et un besoin de vivre à cent à l’heure
Tu t’rappelles, quand tu disais qu’ j’atteindrais pas les seize piges et que j’finirai morte dans un coin de rue où j’laisserais l’âme
D’une gosse perdue qu’en avait plus rien à carrer ou un avenir en cellule derrière les barreaux ou chez les tarés
Eh connard, Tu t’rappelles quand tu pensais, clamais qu’ jétais bonne qu’à fuguer, qu’à faire la conne ou à m’ défoncer
L’exemple à n’ pas suivre, celle que les lois haïssaient, pointaient du doigt et qui depuis ses douze piges n’est plus scolarisée
Bref la totale, Tu t’rappelles que quand tu parlais de moi, tu parlais jamais au futur, putain, j’en avais marre des fois de toutes ses conneries
Mais regardez, sois pas dégoûté mais j’ suis en vie et j’regrette pas de t’avoir jamais écouté!
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Dis-moi tu t’reconnais? Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler
Celui qui sait tout et c’est surtout pour détruire les gamins ou l’espoir des parents, connard, personne ne peut prétendre demain
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Et J’ai pas oublié, t’inquiète, ni tes coups d’pute
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent
Le peu d’espoir qui reste quand toi tu dis qui y en a plus
Moi j’m’en fous, j’t’ai jamais écouté mais ma mère elle t’a cru!
Tu t’rappelles quand tu lui disais qu’mon cas était irrattrapable et que
rejoindre le droit ch’min j’en étais bien incapable, c’était : ’’On n’peut plus sauver cette sauvage, madame Vocifère ’’
Mais qu’est-ce t’as cru? Qu’t’allais m’sauver, toi? ou ton Lucifer?
Qu’est-ce tu croyais? Qu’on aide les mômes à base de dressage? Mais toutes vos institutions mènent à la perte, tu s le message?
Alors si tu crois toujours, pour gagner l’obéissance c’est par la force que ça s’passe C’est qu’t’es toujours aussi insensé!
Eh connard, pour nous assagir c’était quoi tes méthodes? Ah ouais! Droguer les mômes en gonflant leur tête de médocs
Eh connard! Trop facile de faire gober des neuroleptiques à des p’tits teigneux devenus légumes par ta camisole chimique
Eh connard! A tes yeux on était quoi tous? Juste d’la mauvaise graine, hein?
Que t’écrasais, histoire que rien n’pousse
Avec fourberie deuxièmement à charge de revanche, tu peux toujours prier ton diable qu’aucun d’entre nous se venge!
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Dis-moi tu t’reconnais? Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler
Celui qui sait tout et c’est surtout pour détruire les gamins ou l’espoir des parents connard personne ne peut prétendre demain
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Et j’ai pas oublié, t’inquiète, ni tes coups d’pute
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent
Le peu d’espoir qui reste quand toi tu dis qui y en a plus
Moi j’m’en fous, j’t’ai jamais écouté mais ma mère elle t’a cru!
Tu t’rappelles lorsque t’ordonnais avec ta malveillance qu’aucun éduc’ ne devait m’laisser une seconde sans surveillance
De peur que j’parte, qu’est-ce qui a? tu croyais qu’j’allais m’laisser mourir dans ton enclos? Ou attendre que quelqu’un vienne me secourir
Nan, mais qu’est-ce que tu croyais? Qu’on soigne un feu avec d’l’alcool?
Marcher à la baguette, moi j’t’en foutrais des piqûres d’alcool
Car t’avais pas l’droit, et ça tu l’sais très bien, d’ailleurs qu’j’pourrais traîner d’vant tes tribunaux tes pratiques de tirailleurs
Mais bon c’est pas dans mes principes, la roue tournera pour toi aussi et tu t’rappelleras ce jour-là d’moi et des autres p’tits indociles
Car y a une justice là-haut, plus que votre système et on finit toujours par payer les effets des choses qu’on sème
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Tu t’reconnais? {x5}
Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler
Celui qui sait tout et surtout pour détruire les gamins ou l’espoir des parents, connard personne ne peut prétendre demain
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Et j’ai pas oublié, t’inquiète, ni tes coups d’pute
Ni tes belles paroles qui finalement rackettent
Le peu d’espoir qui reste quand toi tu dis qui y en a plus
Moi j’m’en fous, j’t’ai jamais écouté mais ma mère elle t’a cru!
Eh connard! C’est à toi qu’j’parle! Dis-moi tu t’reconnais? Directeur de centre et d’maisons d’enfants, eh! Laisse-moi rigoler {x2=
J’regrette pas ( Et nan, Et nan ) de t’avoir jamais écouté! (eh connard, eh connard, eh connard, eh connard, eh eh dis-moi tu t’reconnais? )
J’regrette pas ( nan nan nan nan nan ) de t’avoir jamais écouté! (eh connard c’est à toi qu’j’parle! Eh! Directeur de centre et d’maisons d’enfants, enfoiré ha )
La roue tourne connard!