Les paroles de la chanson
« Eden blues »
Yvette Giraud
En descendant le fleuve argent
Qui roule jusqu’au Névada
On voit la plaine qui s’étend
A l’est de Santa Lucia
Les villes s’appellent Natividad,
San Miguel ou San Lorenzo
Les filles s’appellent Soledad
Les garçons gardent les troupeaux
C’est là que Jim a rencontré
Sur une route un soir de pluie
Catherine la fille d’un fermier
Et qu’ils s’aimèrent toute la nuit
Le soleil fait briller son or
Dans quelques rares flaques d’eau
Le cactus forme le décor
Le chardon couvre les coteaux
C’est là qu’Adam le sénateur
Est venu finir ses vieux jours
Puis il est mort d’un coup au cœur
On prétend que c’est du mal d’amour
Mais les fleurs couchées par le vent
Semblent prier pour son repos
La lune verse une larme d’argent
Sur la croix blanche du tombeau
En descendant le fleuve argent
Qui roule jusqu’au Névada
On voit la plaine qui s’étend
A l’est de Santa Lucia
Les villes s’appellent Natividad,
San Miguel ou San Lorenzo
Les filles s’appellent Soledad
Les garçons gardent les troupeaux
Qui roule jusqu’au Névada
On voit la plaine qui s’étend
A l’est de Santa Lucia
Les villes s’appellent Natividad,
San Miguel ou San Lorenzo
Les filles s’appellent Soledad
Les garçons gardent les troupeaux
C’est là que Jim a rencontré
Sur une route un soir de pluie
Catherine la fille d’un fermier
Et qu’ils s’aimèrent toute la nuit
Le soleil fait briller son or
Dans quelques rares flaques d’eau
Le cactus forme le décor
Le chardon couvre les coteaux
C’est là qu’Adam le sénateur
Est venu finir ses vieux jours
Puis il est mort d’un coup au cœur
On prétend que c’est du mal d’amour
Mais les fleurs couchées par le vent
Semblent prier pour son repos
La lune verse une larme d’argent
Sur la croix blanche du tombeau
En descendant le fleuve argent
Qui roule jusqu’au Névada
On voit la plaine qui s’étend
A l’est de Santa Lucia
Les villes s’appellent Natividad,
San Miguel ou San Lorenzo
Les filles s’appellent Soledad
Les garçons gardent les troupeaux