Les paroles de la chanson
« Du vent »
Mano Solo
Du vent, du sexe et de la sueur
Du sang, de la fête et de la peur
Des partisans dans ma tête
Qui s’arrachent à la douleur
Que croyez vous? Je suis comme vous.
Mes refrains ne changent pas tout
Y’a pas grand monde dans le train
Y’a pas grand monde sur le chemin
Pas beaucoup d’ombres dans le lointain
Les coeurs qui grondent
Des outils pleins les mains
Ont disparu des images brillent
C’est trop ringuard toutes ces conneries
Mais j’ose encore y croire
Je me fais juste mon petit grand soir
Travail famille Sarkosy
C’est la compassion pour les nantis
Mais si t’as rien à offrir
Prépare toi à souffrir
Au rendez-vous du MEDEF au fond d’un trou
Il a des planches et même des clous
T’as intérêt à tenir debout
Car si demain tu sers à rien
On va te j’ter comme un chien
Pour qu’ tu puisses une fois dans la rue
Épouvantail aux mains tendues
Effrayer le salarié
Fermer ta gueule et pas bouger
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l’amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d’un instant
Pour comprendre la force d’être unis
Y’a pas grand monde dans le train
Y’a pas grand monde sur le chemin
Pas beaucoup d’ombres dans le lointain
Les coeurs qui grondent
Des outils pleins les mains
Ont disparu des images brillent
C’est trop ringuard toutes ces conneries
Mais j’aime encore y croire
Je me fais juste mon petit grand soir
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l’amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d’un instant
Pour comprendre la force d’être unis
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l’amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d’un instant
Pour comprendre la force d’être unis
Du sang, de la fête et de la peur
Des partisans dans ma tête
Qui s’arrachent à la douleur
Que croyez vous? Je suis comme vous.
Mes refrains ne changent pas tout
Y’a pas grand monde dans le train
Y’a pas grand monde sur le chemin
Pas beaucoup d’ombres dans le lointain
Les coeurs qui grondent
Des outils pleins les mains
Ont disparu des images brillent
C’est trop ringuard toutes ces conneries
Mais j’ose encore y croire
Je me fais juste mon petit grand soir
Travail famille Sarkosy
C’est la compassion pour les nantis
Mais si t’as rien à offrir
Prépare toi à souffrir
Au rendez-vous du MEDEF au fond d’un trou
Il a des planches et même des clous
T’as intérêt à tenir debout
Car si demain tu sers à rien
On va te j’ter comme un chien
Pour qu’ tu puisses une fois dans la rue
Épouvantail aux mains tendues
Effrayer le salarié
Fermer ta gueule et pas bouger
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l’amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d’un instant
Pour comprendre la force d’être unis
Y’a pas grand monde dans le train
Y’a pas grand monde sur le chemin
Pas beaucoup d’ombres dans le lointain
Les coeurs qui grondent
Des outils pleins les mains
Ont disparu des images brillent
C’est trop ringuard toutes ces conneries
Mais j’aime encore y croire
Je me fais juste mon petit grand soir
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l’amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d’un instant
Pour comprendre la force d’être unis
Un soir, dans le vent
Je rejoindrai les partisans
De ceux qui ont de l’amour pour la vie
Un soir, dans la nuit
Il suffira d’un instant
Pour comprendre la force d’être unis