Les paroles de la chanson
« Du rififi chez les branques »
La Ruda Salska
Oui, en faite, je pense que,
enfin, comment dire?
comment c’est?
Un petit peu comme dans
ces films des années 50
où vous savez, les bandits
sont en noir et blanc, et s’imaginent
invincibles, froids de sang et....et...
Il se voyait an grand truand légendaire forçant le respect à tous ces branques de <>, il soignait
l’accroche comme son revolver, "veston trois boutons deux poches" et gominé capillaire... il se voyait tel, tel, tel Capone, en
contemporain, pas un tel untel mais tel qu’était Capone...Aux maintes hommes "de main" à sa pogne... Il s’inventait un pedigree
des moins clairs... Lui qui s’était juste fait toper à tirer en "loosdé" à Leclerc. Il se voyait comme le roi des gangsters, comme un
clone d’Al Capone, homme et truand légendaire mais il n’était en somme qu’un branque de "première", comme un clone d’Al
Capone, à trois francs trente... et c’est cher! Oh! Il se voyait comme... ces cadors, sourds à toutes les prières, sans remords,
sans recours... au sang froid, hors-la-loi mais en pleine lumière et suicidaire était de nier sa gloire...Quand, dans les claques, il
mattait la taulière.. dans la voix des <> c’est en clair: <qui te ferais pisser le sang à nouveau!>>... Il se voyait fier, parrain des gangsters... Quel camouflet! Ce n’était que le parrain des
mouflets de son beau-frère...! Il se voyait en tueur fou sanguinaire, qui coûte que coûte n’fait jamais machine arrière.. Il saignait
partout les parties de poker, ceux qui posaient plus de deux paires.. Il les expédiait chez <>... Il se voyait tel,
tel, tel Capone en contemporain pas tel untel mais tel qu’était Capone... Dans le règne des flingues qui résonnent... Il rackettait
même les plus hauts fonctionnaires, il les faisait tellement chanter, qu’ils croonaient... Et battaient Fred Astaire Il se voyait comme
le roi des gangsters, comme un clone d’Al Capone, homme et truand légendaire mais il n’était en somme qu’un branque de
<>, comme un roi sans couronne si ce n’est en implant dentaire... Oh! Lui n’était qu’homme... mythomane dans un
mitan de verre, pyromane.. jouant la flambe.. et sévère!.. quant aux femmes sans passer au travers, elles étaient loin d’être
nymphomanes envers ce cave et pervers, lui se voyait mâle.. et levant des compagnes, qu’il arrosait de diamants et de
champagne, il se voyait fier.. comme en affaires, parrain des gangsters.. Quel camouflet! Ce n’était que le parrain des mouflets
de son beau-frère...! Il trouva lourd le <> se dit <> Mais en ce jour, il a mordu la poussière, à son
premier coup face à la caissière, lui laissa une, deux, trois secondes... Elle a tiré la première!... Il s’écroula, dans son sang, sur
le parterre, sans avoir le temps de faire parler son revolver, à jouer les cadors, ça mène au cimetière, ci gît...
..repose et dort feu le roi des gangsters.
enfin, comment dire?
comment c’est?
Un petit peu comme dans
ces films des années 50
où vous savez, les bandits
sont en noir et blanc, et s’imaginent
invincibles, froids de sang et....et...
Il se voyait an grand truand légendaire forçant le respect à tous ces branques de <
l’accroche comme son revolver, "veston trois boutons deux poches" et gominé capillaire... il se voyait tel, tel, tel Capone, en
contemporain, pas un tel untel mais tel qu’était Capone...Aux maintes hommes "de main" à sa pogne... Il s’inventait un pedigree
des moins clairs... Lui qui s’était juste fait toper à tirer en "loosdé" à Leclerc. Il se voyait comme le roi des gangsters, comme un
clone d’Al Capone, homme et truand légendaire mais il n’était en somme qu’un branque de "première", comme un clone d’Al
Capone, à trois francs trente... et c’est cher! Oh! Il se voyait comme... ces cadors, sourds à toutes les prières, sans remords,
sans recours... au sang froid, hors-la-loi mais en pleine lumière et suicidaire était de nier sa gloire...Quand, dans les claques, il
mattait la taulière.. dans la voix des <
mouflets de son beau-frère...! Il se voyait en tueur fou sanguinaire, qui coûte que coûte n’fait jamais machine arrière.. Il saignait
partout les parties de poker, ceux qui posaient plus de deux paires.. Il les expédiait chez <
tel, tel Capone en contemporain pas tel untel mais tel qu’était Capone... Dans le règne des flingues qui résonnent... Il rackettait
même les plus hauts fonctionnaires, il les faisait tellement chanter, qu’ils croonaient... Et battaient Fred Astaire Il se voyait comme
le roi des gangsters, comme un clone d’Al Capone, homme et truand légendaire mais il n’était en somme qu’un branque de
<
mitan de verre, pyromane.. jouant la flambe.. et sévère!.. quant aux femmes sans passer au travers, elles étaient loin d’être
nymphomanes envers ce cave et pervers, lui se voyait mâle.. et levant des compagnes, qu’il arrosait de diamants et de
champagne, il se voyait fier.. comme en affaires, parrain des gangsters.. Quel camouflet! Ce n’était que le parrain des mouflets
de son beau-frère...! Il trouva lourd le <
premier coup face à la caissière, lui laissa une, deux, trois secondes... Elle a tiré la première!... Il s’écroula, dans son sang, sur
le parterre, sans avoir le temps de faire parler son revolver, à jouer les cadors, ça mène au cimetière, ci gît...
..repose et dort feu le roi des gangsters.