Les paroles de la chanson
« Du moment qu'on s'aime »
Tino Rossi
Tu n’as qu’un trésor, celui de tes vingt ans
Tu ne vis que de rêves et de l’air du temps
Je mène avec toi une vie de bohème
Et nous n’avons même pas un sou vaillant
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
Qu’on soit obligé de jeûner souvent
Grâce à tes baisers, j’oublie le carême
Toi, tu fais de même, du moment qu’on s’aime
Dans notre sixième sous les toits, tout là-haut
Nous vivons à l’étroit comme deux moineaux
Et lorsque l’hiver brusquement se déchaîne
Si le froid nous gêne, on s’en plaint pas trop
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
S’il y a de la glace après les carreaux
Blottie dans mes bras, mes bras qui t’enchaînent
Tu es bien quand même, du moment qu’on s’aime
Si je travaillais tous les jours sans à-coup
Peut-être bien qu’on pourrait joindre les deux bouts
Mais dès que je vois tes yeux d’enfant pas sage
Tout mon grand courage s’en va d’un seul coup
Ce n’est pas pourtant que l’on ait la flemme
Mais pour égrainer tous nos p’tits mots doux
Les trente jours du mois nous suffisent à peine
Du moment qu’on s’aime {x2}
Nous passons souvent pour de vrais bohèmes
Qu’importe après tout ce qu’on dit partout
Car la vie pour nous n’est plus un problème
Du moment qu’on s’aime {x3}
Tu ne vis que de rêves et de l’air du temps
Je mène avec toi une vie de bohème
Et nous n’avons même pas un sou vaillant
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
Qu’on soit obligé de jeûner souvent
Grâce à tes baisers, j’oublie le carême
Toi, tu fais de même, du moment qu’on s’aime
Dans notre sixième sous les toits, tout là-haut
Nous vivons à l’étroit comme deux moineaux
Et lorsque l’hiver brusquement se déchaîne
Si le froid nous gêne, on s’en plaint pas trop
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
S’il y a de la glace après les carreaux
Blottie dans mes bras, mes bras qui t’enchaînent
Tu es bien quand même, du moment qu’on s’aime
Si je travaillais tous les jours sans à-coup
Peut-être bien qu’on pourrait joindre les deux bouts
Mais dès que je vois tes yeux d’enfant pas sage
Tout mon grand courage s’en va d’un seul coup
Ce n’est pas pourtant que l’on ait la flemme
Mais pour égrainer tous nos p’tits mots doux
Les trente jours du mois nous suffisent à peine
Du moment qu’on s’aime {x2}
Nous passons souvent pour de vrais bohèmes
Qu’importe après tout ce qu’on dit partout
Car la vie pour nous n’est plus un problème
Du moment qu’on s’aime {x3}