Les paroles de la chanson
« Du moment qu'on s'aime »
Marie-José
Tu n’as qu’un trésor, celui de tes vingt ans
Tu ne vis que de rêves et de l’air du temps
Je mène avec toi une vie de bohème
Et nous n’avons même pas un sou vaillant
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
Qu’on soit obligé de jeûner souvent
Grâce à tes baisers, j’oublie le carême
Toi, tu fais de même, du moment qu’on s’aime
Dans notre sixième sous les toits, tout là-haut
Nous vivons à l’étroit comme deux moineaux
Et lorsque l’hiver brusquement se déchaîne
Si le froid nous gêne, on s’en plaint pas trop
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
S’il y a de la glace après les carreaux
Blotti dans mes bras, mes bras qui t’enchaînent
Tu reviens quand même, du moment qu’on s’aime
Afin d’ m’épater, tu joues les touche-à-tout
Mais tu n’es pas fichu d’enfoncer un clou
Moi, de mon coté, comme un rien t’exaspère
De peur de mal faire, je fais rien du tout
Ça m’est bien égal si, pour mes étrennes,
Tu ne peux jamais m’offrir de bijoux
Un bouquet d’ violettes ou de marjolaine
Ça me plaît quand même, du moment qu’on s’aime
Nous passons souvent pour de vrais bohèmes
Qu’importe après tout ce qu’on dit partout
Car la vie pour nous n’est plus un problème
Du moment qu’on s’aime, du moment qu’on s’aime {x2}
Tu ne vis que de rêves et de l’air du temps
Je mène avec toi une vie de bohème
Et nous n’avons même pas un sou vaillant
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
Qu’on soit obligé de jeûner souvent
Grâce à tes baisers, j’oublie le carême
Toi, tu fais de même, du moment qu’on s’aime
Dans notre sixième sous les toits, tout là-haut
Nous vivons à l’étroit comme deux moineaux
Et lorsque l’hiver brusquement se déchaîne
Si le froid nous gêne, on s’en plaint pas trop
Ça nous est égal du moment qu’on s’aime
S’il y a de la glace après les carreaux
Blotti dans mes bras, mes bras qui t’enchaînent
Tu reviens quand même, du moment qu’on s’aime
Afin d’ m’épater, tu joues les touche-à-tout
Mais tu n’es pas fichu d’enfoncer un clou
Moi, de mon coté, comme un rien t’exaspère
De peur de mal faire, je fais rien du tout
Ça m’est bien égal si, pour mes étrennes,
Tu ne peux jamais m’offrir de bijoux
Un bouquet d’ violettes ou de marjolaine
Ça me plaît quand même, du moment qu’on s’aime
Nous passons souvent pour de vrais bohèmes
Qu’importe après tout ce qu’on dit partout
Car la vie pour nous n’est plus un problème
Du moment qu’on s’aime, du moment qu’on s’aime {x2}