Les paroles de la chanson
« Du fond de la nuit »
Jean-Baptiste Veujoz
{Refrain:}
Du fond de la nuit, je t’appelle
Je t’appelle et tu n’entends pas
Du fond de la nuit, je t’appelle
J’écoute et je guette ton pas
Tout seul en ma turne
J’appelle à la Lune
À Jupiter et Saturne
Pour te trouver, ma quelqu’une
J’ hurle des promesses
Susurre des poèmes
Je préside à mille messes
Invente des anathèmes
Mais tu n’es pas là
Où que tu sois
Si tu m’entends, réponds-moi
{au Refrain}
Les soirs de tempête
Perdu dans la plaine
Quand mes mots roulent en miettes
Que le vent rend ma voix vaine
Presque j’abandonne
Il n’y a personne
Presque j’arrive à me taire
À capituler la guerre
Car tu n’es pas là
Où que tu sois
Je t’en supplie, réponds-moi
{au Refrain}
Parfois il me semble
Dans la nuit de cendre
Entendre ta voix descendre
Dans les flocons de décembre
Tendu, immobile
Le silence aiguise
Mes sens et mon cœur fébrile
S’emballe sous ma chemise
Mais ce n’est pas toi
Où que tu sois
Si tu m’entends, réponds-moi
{au Refrain}
Même si le temps passe
Que la mer efface
Dans ma mémoire ton sourire
Ton visage et même pire
J’ai, rivé dans l’âme
Mon amour en flamme
J’imagine ton retour
Que l’aube viendra
Le jour où tu seras là
D’où que tu sois
Je sais qu’un jour
Tu viendras, là
Du fond de la nuit, je t’appelle
Je t’appelle et tu n’entends pas
Du fond de la nuit, je t’appelle
J’écoute et je guette ton pas
Tout seul en ma turne
J’appelle à la Lune
À Jupiter et Saturne
Pour te trouver, ma quelqu’une
J’ hurle des promesses
Susurre des poèmes
Je préside à mille messes
Invente des anathèmes
Mais tu n’es pas là
Où que tu sois
Si tu m’entends, réponds-moi
{au Refrain}
Les soirs de tempête
Perdu dans la plaine
Quand mes mots roulent en miettes
Que le vent rend ma voix vaine
Presque j’abandonne
Il n’y a personne
Presque j’arrive à me taire
À capituler la guerre
Car tu n’es pas là
Où que tu sois
Je t’en supplie, réponds-moi
{au Refrain}
Parfois il me semble
Dans la nuit de cendre
Entendre ta voix descendre
Dans les flocons de décembre
Tendu, immobile
Le silence aiguise
Mes sens et mon cœur fébrile
S’emballe sous ma chemise
Mais ce n’est pas toi
Où que tu sois
Si tu m’entends, réponds-moi
{au Refrain}
Même si le temps passe
Que la mer efface
Dans ma mémoire ton sourire
Ton visage et même pire
J’ai, rivé dans l’âme
Mon amour en flamme
J’imagine ton retour
Que l’aube viendra
Le jour où tu seras là
D’où que tu sois
Je sais qu’un jour
Tu viendras, là