Les paroles de la chanson
« Droit de regard (evidemment) »
Miro
Évidemment ma mère me ment
Elle me dit tout le temps que je suis méchant
Elle voudrait bien que je sois bon
Avec le monsieur qui vient le vendredi
Évidemment lui y fait gentil
Y me dit qu’il aime beaucoup les enfants
Évidemment moi je sais qu’il ment
Il aimerait que je rentre mes dents
Devant la boucherie, rue des enfants,
Il se croit drôle habillé tout en blanc
Il me regarde et me sourit
Il voudrait bien que j’appelle maman
Impertinence à tout égard
Moi je m’égare dans mon tiroir
Et je m’enferme à double tour
Mon droit de regard
Évidemment elle est partie
Avec le monsieur qui faisait tout gentil
Évidemment moi j’ai grandi
Et ça fait vingt ans que je me le dis
J’ai mis du temps à tout comprendre
Car dans la vie il faut savoir attendre
Et maintenant c’est moi qui mens
J’ai tout appris de ma maman
Impertinence à tout égard
Moi je m’égare dans mon tiroir
Et je m’enferme à double tour
Mon droit de regard
Évidemment ma mère me ment
Elle m’a écrit un passé tout en blanc
Évidemment ici personne m’entend
Là où je vis je ne suis qu’un enfant
Évidemment elle a toujours raison
Et sans remords elle m’a fait du tort
Du tort, du tort
Impertinence à tout égard
Moi je m’égare dans mon tiroir
Et je m’enferme à double tour
Mon droit de regard
Elle me dit tout le temps que je suis méchant
Elle voudrait bien que je sois bon
Avec le monsieur qui vient le vendredi
Évidemment lui y fait gentil
Y me dit qu’il aime beaucoup les enfants
Évidemment moi je sais qu’il ment
Il aimerait que je rentre mes dents
Devant la boucherie, rue des enfants,
Il se croit drôle habillé tout en blanc
Il me regarde et me sourit
Il voudrait bien que j’appelle maman
Impertinence à tout égard
Moi je m’égare dans mon tiroir
Et je m’enferme à double tour
Mon droit de regard
Évidemment elle est partie
Avec le monsieur qui faisait tout gentil
Évidemment moi j’ai grandi
Et ça fait vingt ans que je me le dis
J’ai mis du temps à tout comprendre
Car dans la vie il faut savoir attendre
Et maintenant c’est moi qui mens
J’ai tout appris de ma maman
Impertinence à tout égard
Moi je m’égare dans mon tiroir
Et je m’enferme à double tour
Mon droit de regard
Évidemment ma mère me ment
Elle m’a écrit un passé tout en blanc
Évidemment ici personne m’entend
Là où je vis je ne suis qu’un enfant
Évidemment elle a toujours raison
Et sans remords elle m’a fait du tort
Du tort, du tort
Impertinence à tout égard
Moi je m’égare dans mon tiroir
Et je m’enferme à double tour
Mon droit de regard