Les paroles de la chanson
« Douze mois de vacances »
Georgette Plana
{Refrain:}
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour se reposer
Bien logé, bien nourri, bien bronzé,
Quand on travaille, on a mérité
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour récupérer
Dormir à l’ombre, rêver, oublier
Qu’il n’y a que douze mois dans l’année
Si je pense à ma grand-mère
Qui n’a jamais vu la mer,
Qui a toujours travaillé
Sans un jour de congés payés,
Il me semble que maintenant,
En demandant gentiment,
On pourrait obtenir du gouvernement
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour se reposer
Bien logé, bien nourri, bien bronzé,
Quand on travaille, on a mérité,
N’importe où et même en France,
Douze mois par an pour aller danser,
Faire l’amour, manger et chanter,
Socialement en sécurité
En prolongeant les week-ends,
Les mariages et les migraines,
Pour peu qu’il y ait une grève
Qui commence quand l’autre s’achève,
Les sportives à la plage,
Il n’y aura plus d’chômage
Ni de crises de nerf dans les embouteillages
{au Refrain}
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour se reposer
Bien logé, bien nourri, bien bronzé,
Quand on travaille, on a mérité.
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour se reposer
Bien logé, bien nourri, bien bronzé,
Quand on travaille, on a mérité
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour récupérer
Dormir à l’ombre, rêver, oublier
Qu’il n’y a que douze mois dans l’année
Si je pense à ma grand-mère
Qui n’a jamais vu la mer,
Qui a toujours travaillé
Sans un jour de congés payés,
Il me semble que maintenant,
En demandant gentiment,
On pourrait obtenir du gouvernement
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour se reposer
Bien logé, bien nourri, bien bronzé,
Quand on travaille, on a mérité,
N’importe où et même en France,
Douze mois par an pour aller danser,
Faire l’amour, manger et chanter,
Socialement en sécurité
En prolongeant les week-ends,
Les mariages et les migraines,
Pour peu qu’il y ait une grève
Qui commence quand l’autre s’achève,
Les sportives à la plage,
Il n’y aura plus d’chômage
Ni de crises de nerf dans les embouteillages
{au Refrain}
Douze mois par an de vacances
Et tout le reste pour se reposer
Bien logé, bien nourri, bien bronzé,
Quand on travaille, on a mérité.