Les paroles de la chanson
« Double peine »
Zebda
J’ai la tête de celui qui s’entête
Peut-être même du voleur de bicyclettes
De celui qu’a la main près du sac à main
Qu’on s’y trompe, moi sans passer d’examen
Je sais ce que vous avez jamais su
Non, no, niet, dans toutes les langues nada
Le bossu ne fait pas sa vie avec Esmeralda
En tous cas si t’y crois, je te pince!
C’est dans les rêves que les bergères épousent des princes
{Refrain:}
Je suis celui qu’on a puni deux fois
Ici et puis là-bas
Je suis celui qu’on a puni deux fois
Ici et puis là-bas
On m’accuse d’être de toutes les combines
Quatre épouses et combien de concubines
Je sais bien que c’est pas là le moindre défaut
Et qui prend l’ascenseur pour l’échafaud, hein?
Je fais la confidence à ces tordus...
Mais je l’ai dit et redit et si tu lis ma bio
Tu y trouveras une enfance comme il faut
Si tu cherches le Bronx, reste dans ton ghetto
Mais s’il est véridique que je suis né dans la rue
{au Refrain}
Non, non je n’ai pas le culte des racines
Je prends pas ce qu’il y a dans la vitrine
J’écoute la voix qui me dit "va chercher la lumière"
Mais je vais pas courir la vie entière
Mais je vais pas m’échapper davantage
Derrière le tramway qui s’appelait déjà dégage
Et je vais pas attendre qu’on m’épluche
La tête dans le sable comme une autruche
Non! Je cours, je galope et jusqu’à bout de souffle
Je cours dans la neige et sans les moufles
Ainsi est la rencontre du quatrième type
Retour à l’expéditeur, c’est pas le bon prototype
Je sais où je gêne
Que j’ai des airs de celui qui tchoure l’oxygène, car...
{au Refrain}
Peut-être même du voleur de bicyclettes
De celui qu’a la main près du sac à main
Qu’on s’y trompe, moi sans passer d’examen
Je sais ce que vous avez jamais su
Non, no, niet, dans toutes les langues nada
Le bossu ne fait pas sa vie avec Esmeralda
En tous cas si t’y crois, je te pince!
C’est dans les rêves que les bergères épousent des princes
{Refrain:}
Je suis celui qu’on a puni deux fois
Ici et puis là-bas
Je suis celui qu’on a puni deux fois
Ici et puis là-bas
On m’accuse d’être de toutes les combines
Quatre épouses et combien de concubines
Je sais bien que c’est pas là le moindre défaut
Et qui prend l’ascenseur pour l’échafaud, hein?
Je fais la confidence à ces tordus...
Mais je l’ai dit et redit et si tu lis ma bio
Tu y trouveras une enfance comme il faut
Si tu cherches le Bronx, reste dans ton ghetto
Mais s’il est véridique que je suis né dans la rue
{au Refrain}
Non, non je n’ai pas le culte des racines
Je prends pas ce qu’il y a dans la vitrine
J’écoute la voix qui me dit "va chercher la lumière"
Mais je vais pas courir la vie entière
Mais je vais pas m’échapper davantage
Derrière le tramway qui s’appelait déjà dégage
Et je vais pas attendre qu’on m’épluche
La tête dans le sable comme une autruche
Non! Je cours, je galope et jusqu’à bout de souffle
Je cours dans la neige et sans les moufles
Ainsi est la rencontre du quatrième type
Retour à l’expéditeur, c’est pas le bon prototype
Je sais où je gêne
Que j’ai des airs de celui qui tchoure l’oxygène, car...
{au Refrain}