Les paroles de la chanson
« Don quichotte et sancho pança »
Pierre Perret
Connaissez-vous Don Quichotte et l’écuyer Sancho
Deux vaillants chevaliers qui n’étaient pas manchots
Les moulins à vent pourtant de vrais géants dodus
Etaient brisés, hachés, moulus, rasés, tondus
{Refrain:}
Don Quichotte et Sancho Pança
Saperlotte vous auriez vu ça
Don Quichotte et Sancho Pança
La tremblotte ils ignoraient complètement ça
Sur la brave Rosinante et le patient grison
Ils s’en aller faire justice aux quatre horizons
Passant d’un pays à l’autre ils étaient si forts
Qu’aux douaniers ils ne montraient même pas le passeport.
{au Refrain}
Pendant qu’sur un arbre surveillait Sancho Pança
Seul Don Quichotte provoquait les armées du roi
Il tordait tellement de cous arrachait tant de têtes
Qu’il se reposait parfois fumant une cigarette
{au Refrain}
Un jour Don Quichotte le valeureux le hardi
Près d’une muraille rencontra un mal poli
D’un seul coup de poing aux creux du mur le fit rentrer
Ne lui laissant que le bras dehors pour saluer
{au Refrain}
Les ennemis la soif la faim et les intempéries
Usaient souvent jusqu’à leur peau et leurs habits
C’est la mort dans l’âme que chacun retrouvait sa maison
Ses amis les pantoufles et la télévision
{au Refrain}
Deux vaillants chevaliers qui n’étaient pas manchots
Les moulins à vent pourtant de vrais géants dodus
Etaient brisés, hachés, moulus, rasés, tondus
{Refrain:}
Don Quichotte et Sancho Pança
Saperlotte vous auriez vu ça
Don Quichotte et Sancho Pança
La tremblotte ils ignoraient complètement ça
Sur la brave Rosinante et le patient grison
Ils s’en aller faire justice aux quatre horizons
Passant d’un pays à l’autre ils étaient si forts
Qu’aux douaniers ils ne montraient même pas le passeport.
{au Refrain}
Pendant qu’sur un arbre surveillait Sancho Pança
Seul Don Quichotte provoquait les armées du roi
Il tordait tellement de cous arrachait tant de têtes
Qu’il se reposait parfois fumant une cigarette
{au Refrain}
Un jour Don Quichotte le valeureux le hardi
Près d’une muraille rencontra un mal poli
D’un seul coup de poing aux creux du mur le fit rentrer
Ne lui laissant que le bras dehors pour saluer
{au Refrain}
Les ennemis la soif la faim et les intempéries
Usaient souvent jusqu’à leur peau et leurs habits
C’est la mort dans l’âme que chacun retrouvait sa maison
Ses amis les pantoufles et la télévision
{au Refrain}