Les paroles de la chanson
« Doisneau »
Mathieu Johann
Une à une, je tourne les pages
Je m’arrête sur chaque image
Une jolie fille passe doucement
Sur mon visage je sens le vent
Un courant d’air frais sur ma peau
Doisneau
L’accordéoniste rue Mouffetard
joue sur un bout de trottoir
Le bistroit grouille, y a plein de gens
qui restent là en écoutant
Le vieux qui joue sur la photo
Doisneau
Les péniches déchirent la Seine
On se fiche bien d’où elles nous mènent
Les yeux rivés sur le cliché
Je me sens prêt à embarquer
Vous conduisez le bateau
Doisneau
Les enfants jouent à la marelle
Ils rêvent tous d’atteindre le ciel
Leurs éclats de rire sont figés
et sur des pages immortalisés
le noir et blanc, qu’est-ce que c’est beau
Doisneau
Une à une, je tourne les pages
Je m’arrête sur chaque image
J’erre dans les rues de Paris
La ville un peu perdue depuis
Un courant d’air sur la peau,
là-haut
Le vieux qui joue sur la photo,
là-haut
Mais qui conquit le bateau,
là-haut?
Le noir et blanc, est-ce que c’est beau?
Doisneau
Je m’arrête sur chaque image
Une jolie fille passe doucement
Sur mon visage je sens le vent
Un courant d’air frais sur ma peau
Doisneau
L’accordéoniste rue Mouffetard
joue sur un bout de trottoir
Le bistroit grouille, y a plein de gens
qui restent là en écoutant
Le vieux qui joue sur la photo
Doisneau
Les péniches déchirent la Seine
On se fiche bien d’où elles nous mènent
Les yeux rivés sur le cliché
Je me sens prêt à embarquer
Vous conduisez le bateau
Doisneau
Les enfants jouent à la marelle
Ils rêvent tous d’atteindre le ciel
Leurs éclats de rire sont figés
et sur des pages immortalisés
le noir et blanc, qu’est-ce que c’est beau
Doisneau
Une à une, je tourne les pages
Je m’arrête sur chaque image
J’erre dans les rues de Paris
La ville un peu perdue depuis
Un courant d’air sur la peau,
là-haut
Le vieux qui joue sur la photo,
là-haut
Mais qui conquit le bateau,
là-haut?
Le noir et blanc, est-ce que c’est beau?
Doisneau