Les paroles de la chanson
« Dix-huit jours »
Juliette Gréco
Tu es parti pour dix-huit jours
Mais dix-huit jours, que c’est long, que c’est long!
Tu es parti pour dix-huit jours
Que vais-je faire d’ici ton retour?
Tu es parti depuis trois jours à peine
Le temps ne passe pas vite
Elle est interminable, cette semaine
C’est bien la dernière fois que l’on se quitte
Tu es parti pour dix-huit jours
Mais dix-huit jours, que c’est long, que c’est long!
Tu es parti pour dix-huit jours
Que vais-je faire d’ici ton retour?
Je suis amorphe, les volets fermés
Pleurant des heures sur mon lit
Et je ne vois personne de la journée
À part la concierge qui me monte des fruits
Et puis hier, treizième jour
Et puis hier, Pierre m’a téléphoné
Il a dit qu’on ne meurt pas d’amour
Et m’a invitée à dîner
Depuis, il passe tous les soirs me chercher
Bref, on ne se quitte plus
C’est fou ce que Paris est gai cet été
On danse et je rentre à l’aube, toute courbatue
Tu es parti pour dix-huit jours
C’est pas si mal d’être un peu séparés
Finalement, ça m’a semblé court
Demain, c’est déjà le jour de ton retour
Mais dix-huit jours, que c’est long, que c’est long!
Tu es parti pour dix-huit jours
Que vais-je faire d’ici ton retour?
Tu es parti depuis trois jours à peine
Le temps ne passe pas vite
Elle est interminable, cette semaine
C’est bien la dernière fois que l’on se quitte
Tu es parti pour dix-huit jours
Mais dix-huit jours, que c’est long, que c’est long!
Tu es parti pour dix-huit jours
Que vais-je faire d’ici ton retour?
Je suis amorphe, les volets fermés
Pleurant des heures sur mon lit
Et je ne vois personne de la journée
À part la concierge qui me monte des fruits
Et puis hier, treizième jour
Et puis hier, Pierre m’a téléphoné
Il a dit qu’on ne meurt pas d’amour
Et m’a invitée à dîner
Depuis, il passe tous les soirs me chercher
Bref, on ne se quitte plus
C’est fou ce que Paris est gai cet été
On danse et je rentre à l’aube, toute courbatue
Tu es parti pour dix-huit jours
C’est pas si mal d’être un peu séparés
Finalement, ça m’a semblé court
Demain, c’est déjà le jour de ton retour