Les paroles de la chanson
« Ding dong, sonnez »
Gilbert Bécaud
Tu es entrée dans ma vie comme un matin de Pâques
J’en avais apprêté déjà les reposoirs
D’un coup, tu transformas les vilaines baraques
Et tu plaças des fleurs partout sur les trottoirs
Ta venue fut pour moi la fête merveilleuse
Je l’aperçus de loin comme un cortège d’or
Puis à la nuit tombée, veillé par des veilleuses
Le monde entier dansa, riche de ton trésor
Ding, dong, sonnez mon amour que j’aime
Ding, dong, sonnez, tintinnabulez
Tu avais amené parmi tes équipages
L’immense joie de croire à ce que tu aimais
Et lorsque ton soleil illumina les plages
Les enfants des pêcheurs, sans rien savoir, riaient
Ding, dong, sonnez mon amour que j’aime
Ding, dong, sonnez, tintinnabulez
Voilà ce que tu fus, voilà ce que tu restes
Tu sais au fond du ciel un orgue mystérieux
Qui chante quand tu veux la complainte céleste
Tu es entrée dans ma vie comme un matin de Dieu
Ding, dong, sonnez mon amour que j’aime
Ding, dong, sonnez, tintinnabulez
J’en avais apprêté déjà les reposoirs
D’un coup, tu transformas les vilaines baraques
Et tu plaças des fleurs partout sur les trottoirs
Ta venue fut pour moi la fête merveilleuse
Je l’aperçus de loin comme un cortège d’or
Puis à la nuit tombée, veillé par des veilleuses
Le monde entier dansa, riche de ton trésor
Ding, dong, sonnez mon amour que j’aime
Ding, dong, sonnez, tintinnabulez
Tu avais amené parmi tes équipages
L’immense joie de croire à ce que tu aimais
Et lorsque ton soleil illumina les plages
Les enfants des pêcheurs, sans rien savoir, riaient
Ding, dong, sonnez mon amour que j’aime
Ding, dong, sonnez, tintinnabulez
Voilà ce que tu fus, voilà ce que tu restes
Tu sais au fond du ciel un orgue mystérieux
Qui chante quand tu veux la complainte céleste
Tu es entrée dans ma vie comme un matin de Dieu
Ding, dong, sonnez mon amour que j’aime
Ding, dong, sonnez, tintinnabulez