Les paroles de la chanson
« Dimanche à orly »
Gilbert Bécaud
A l’escalier 6, bloc 21,
J’habite un très chouette appartement
Que mon père, si tout marche bien,
Aura payé en moins de vingt ans.
On a le confort au maximum,
Un ascenseur et un’ sall’ de bain.
On a la télé, le téléphone
Et la vue sur Paris, au lointain.
Le dimanche, ma mère fait du rangement
Pendant que mon père, à la télé,
Regarde les sports religieusement
Et moi j’en profit’ pour m’en aller.
Je m’en vais l’ dimanche à Orly.
Sur l’aéroport, on voit s’envoler
Des avions pour tous les pays.
Pour l’après-midi... J’ai de quoi rêver.
Je me sens des fourmis dans les idées
Quand je rentre chez moi la nuit tombée.
A sept heures vingt-cinq, tous les matins,
Nicole et moi, on prend le métro.
Comme on dort encore, on n’se dit rien
Et chacun s’en va vers ses travaux.
Quand le soir je retrouve mon lit,
J’entends les Bœings chanter là-haut.
Je les aime, mes oiseaux de nuit,
Et j’irai les retrouver bientôt.
Oui j’irai dimanche à Orly.
Sur l’aéroport, on voit s’envoler
Des avions pour tous les pays.
Pour toute une vie... Y a de quoi rêver.
Un jour, de là-haut, le bloc vingt et un
Ne sera qu’un tout petit point.
J’habite un très chouette appartement
Que mon père, si tout marche bien,
Aura payé en moins de vingt ans.
On a le confort au maximum,
Un ascenseur et un’ sall’ de bain.
On a la télé, le téléphone
Et la vue sur Paris, au lointain.
Le dimanche, ma mère fait du rangement
Pendant que mon père, à la télé,
Regarde les sports religieusement
Et moi j’en profit’ pour m’en aller.
Je m’en vais l’ dimanche à Orly.
Sur l’aéroport, on voit s’envoler
Des avions pour tous les pays.
Pour l’après-midi... J’ai de quoi rêver.
Je me sens des fourmis dans les idées
Quand je rentre chez moi la nuit tombée.
A sept heures vingt-cinq, tous les matins,
Nicole et moi, on prend le métro.
Comme on dort encore, on n’se dit rien
Et chacun s’en va vers ses travaux.
Quand le soir je retrouve mon lit,
J’entends les Bœings chanter là-haut.
Je les aime, mes oiseaux de nuit,
Et j’irai les retrouver bientôt.
Oui j’irai dimanche à Orly.
Sur l’aéroport, on voit s’envoler
Des avions pour tous les pays.
Pour toute une vie... Y a de quoi rêver.
Un jour, de là-haut, le bloc vingt et un
Ne sera qu’un tout petit point.