Les paroles de la chanson
« Difficile d'être heureux »
Salvatore Adamo
Qu’il est difficile d’être heureux
Qu’il est difficile d’être deux
S’habiller d’un seul et même amour
Le tisser au fil de chaque jour
Qu’il est difficile de donner
S’oublier pour l’autre et remercier
Prendre l’ombre et rendre le soleil
De guerre en tendresse s’aimer pareille
Et ça prendra toute une vie
Que nous ayons les mêmes mots
Les mêmes joies les mêmes envies
Mêmes soupirs, mêmes sanglots
Oh! Difficile de vivre à deux
Oh! Difficile et si merveilleux
Entrer dans un rêve sans déranger
Et ne pas crier et ne pas pleurer
En découvrant par la porte entre ouverte
Tout l’inavouable qui déconcerte
Et soigner ensemble ces bleus au coeur
Comme des enfants qui se sont fait peur
La première ride un baiser sur tes yeux
Premier cheveu blanc il ne faut pas être vieux
Et ça prendra toute une vie
Que nous ayons les mêmes mots
Les mêmes joies les mêmes envies
Mêmes soupirs, mêmes sanglots
Et quand le bonheur est à marée basse
Chercher sur la plage du temps qui passe
Une relique, un gage, un souvenir
D’un instant qu’on a pas su retenir
Qu’il est difficile d’être heureux
Qu’il est difficile d’être deux
Un geste un peu las et c’est l’habitude
Un silence tombe et c’est la solitude
Et ça prendra toute une vie
Que nous ayons les mêmes mots
Les mêmes joies les mêmes envies
Mêmes soupirs, mêmes sanglots.
Qu’il est difficile d’être deux
S’habiller d’un seul et même amour
Le tisser au fil de chaque jour
Qu’il est difficile de donner
S’oublier pour l’autre et remercier
Prendre l’ombre et rendre le soleil
De guerre en tendresse s’aimer pareille
Et ça prendra toute une vie
Que nous ayons les mêmes mots
Les mêmes joies les mêmes envies
Mêmes soupirs, mêmes sanglots
Oh! Difficile de vivre à deux
Oh! Difficile et si merveilleux
Entrer dans un rêve sans déranger
Et ne pas crier et ne pas pleurer
En découvrant par la porte entre ouverte
Tout l’inavouable qui déconcerte
Et soigner ensemble ces bleus au coeur
Comme des enfants qui se sont fait peur
La première ride un baiser sur tes yeux
Premier cheveu blanc il ne faut pas être vieux
Et ça prendra toute une vie
Que nous ayons les mêmes mots
Les mêmes joies les mêmes envies
Mêmes soupirs, mêmes sanglots
Et quand le bonheur est à marée basse
Chercher sur la plage du temps qui passe
Une relique, un gage, un souvenir
D’un instant qu’on a pas su retenir
Qu’il est difficile d’être heureux
Qu’il est difficile d’être deux
Un geste un peu las et c’est l’habitude
Un silence tombe et c’est la solitude
Et ça prendra toute une vie
Que nous ayons les mêmes mots
Les mêmes joies les mêmes envies
Mêmes soupirs, mêmes sanglots.