Les paroles de la chanson
« Deux centres du monde »
Liane Foly
A cet endroit, il y avait un marché,
Des gens, des voix, comment l’imaginer,
Dans ce silence, ces immeubles éventrés,
Dans les méfiances, de ces rues déchirées.
Les âmes ont parlé quand les mots n’ont pas suffi,
Elles ont laissé leurs empreintes de ruine de nuit,
Dans un morceau de miroir une fille se maquille,
Ailleurs un garçon se rase et s’habille.
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
A cet endroit, il y avait un marché,
Des gens, des voix...
La faim, la peur, elle caresse sa peau,
Combat, malheur, il espère ses mots,
Le froid, le manque, elle n’attend que ses mains,
Le feu, les tanks, ses cheveux, ses parfums.
Une herbe oubliée pousse au milieu des cailloux,
Sous les nuages gris, passe un rayon de soleil,
Une source coule venue l’on ne sait d’où,
La vie, l’amour, les revanches éternelles.
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
Elle danse et le reste s’efface,
Il la regarde et tout change de place,
Elle tourne et l’entraîne à sa ronde,
Deux amoureux partout deux centres du monde.
La fin, la peur, elle caresse sa peau,
Combat, malheur...
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
Elle danse et rit sous les caresses,
Il l’embrasse et les ombres disparaissent,
Dans chaque baiser, chaque seconde,
Les amoureux autant deux centres du monde.
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
Des gens, des voix, comment l’imaginer,
Dans ce silence, ces immeubles éventrés,
Dans les méfiances, de ces rues déchirées.
Les âmes ont parlé quand les mots n’ont pas suffi,
Elles ont laissé leurs empreintes de ruine de nuit,
Dans un morceau de miroir une fille se maquille,
Ailleurs un garçon se rase et s’habille.
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
A cet endroit, il y avait un marché,
Des gens, des voix...
La faim, la peur, elle caresse sa peau,
Combat, malheur, il espère ses mots,
Le froid, le manque, elle n’attend que ses mains,
Le feu, les tanks, ses cheveux, ses parfums.
Une herbe oubliée pousse au milieu des cailloux,
Sous les nuages gris, passe un rayon de soleil,
Une source coule venue l’on ne sait d’où,
La vie, l’amour, les revanches éternelles.
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
Elle danse et le reste s’efface,
Il la regarde et tout change de place,
Elle tourne et l’entraîne à sa ronde,
Deux amoureux partout deux centres du monde.
La fin, la peur, elle caresse sa peau,
Combat, malheur...
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.
Elle danse et rit sous les caresses,
Il l’embrasse et les ombres disparaissent,
Dans chaque baiser, chaque seconde,
Les amoureux autant deux centres du monde.
Elle danse parmi les décombres,
Il lui sourit quand plus loin d’autres tombent,
Elle rêve et s’envolent les bombes,
Deux amoureux comme deux centres du monde.