Les paroles de la chanson
« Destin d'hymen »
Klub Des Loosers
Romantique comme un acteur porno qui n’quitte pas son alliance
Aux innocents des moignons j’n’ai rien à dire pour ma défense
Ensemble c’est différent tu n’y crois plus car c’est mal joué
Comme tous ces court-métrages qui passent la nuit à la télé
La vie a de belles lèvres mais méfie toi de ses morsures
Mieux vaut être seul qu’avec une conne qui claque son salaire en chaussures
Victimes que de nous-mêmes rien ne sert de porter plainte
L’amour éreinte et son corps suinte sur les corps flasques le samedi soir
Tout paraît tellement plus beau quand on s’enivre dans le noir
La solitude est trop pesante alors on espère se revoir
En attendant vidons des bières surtout pensons à recycler
Le verre d’autres alcooliques arrive
Qu’est-ce j’y peux je ne suis pas père
Tu n’es pas fière il t’a baisé
Ce serait plus grave si je t’aimais
Je n’étais pas fidèle non plus je te quitte pour la bonne nouvelle
On sait qu’on n’se reverra pas parce que nos vies sont bien trop courtes
Rappelle-toi juste qu’à une époque tu aimais avaler mon foutre
J’aimerais embaucher un vigil pour attraper toutes les secondes qui filent
Quand ma montre s’arrêtera je n’lui remettrai pas de piles
Sur les photos je tourne la tête comme si je voulais être ailleurs
Ce n’est pas faux par la fenêtre j’entends un enfant qui pleure
Personne ne saurait dire pourquoi mais a-t-il besoin d’une raison
Et merde j’n’ai plus de bière le jour décroît dans le salon
Silence de vie quand la télé s’éteint l’ambiance devient gênante
À cet instant dans le monde des milliers de femmes enfantent
Mais je ne peux rien y faire la pire espèce se perpétue
Comment leur dire à tous ces gens vos gosses sont superflus
Les week-end sont pleins de promesses mais finalement je fais les courses
En maugréant que le temps presse balloté parmi la foule
Nos corps se croisent parfois se frôlent dans des contacts non consentis
Il faudrait rompre la glace trouver la chaleur dans la nuit
Ne rien répondre aux connaissances quand on se retrouve pour un verre
Ce qui n’arrive plus trop souvent
C’est vrai qu’ils n’ont plus trop le temps
Et quelque part je les comprends
Entre le boulot et les gosses ils sourient peu mais sont heureux disent-ils
Je n’sais pas s’ils se forcent
On se raccroche à ce qu’on peut même si au fond nos vies sont vaines
Tous voués au déchirement nous avions des destins d’hymens
Aux innocents des moignons j’n’ai rien à dire pour ma défense
Ensemble c’est différent tu n’y crois plus car c’est mal joué
Comme tous ces court-métrages qui passent la nuit à la télé
La vie a de belles lèvres mais méfie toi de ses morsures
Mieux vaut être seul qu’avec une conne qui claque son salaire en chaussures
Victimes que de nous-mêmes rien ne sert de porter plainte
L’amour éreinte et son corps suinte sur les corps flasques le samedi soir
Tout paraît tellement plus beau quand on s’enivre dans le noir
La solitude est trop pesante alors on espère se revoir
En attendant vidons des bières surtout pensons à recycler
Le verre d’autres alcooliques arrive
Qu’est-ce j’y peux je ne suis pas père
Tu n’es pas fière il t’a baisé
Ce serait plus grave si je t’aimais
Je n’étais pas fidèle non plus je te quitte pour la bonne nouvelle
On sait qu’on n’se reverra pas parce que nos vies sont bien trop courtes
Rappelle-toi juste qu’à une époque tu aimais avaler mon foutre
J’aimerais embaucher un vigil pour attraper toutes les secondes qui filent
Quand ma montre s’arrêtera je n’lui remettrai pas de piles
Sur les photos je tourne la tête comme si je voulais être ailleurs
Ce n’est pas faux par la fenêtre j’entends un enfant qui pleure
Personne ne saurait dire pourquoi mais a-t-il besoin d’une raison
Et merde j’n’ai plus de bière le jour décroît dans le salon
Silence de vie quand la télé s’éteint l’ambiance devient gênante
À cet instant dans le monde des milliers de femmes enfantent
Mais je ne peux rien y faire la pire espèce se perpétue
Comment leur dire à tous ces gens vos gosses sont superflus
Les week-end sont pleins de promesses mais finalement je fais les courses
En maugréant que le temps presse balloté parmi la foule
Nos corps se croisent parfois se frôlent dans des contacts non consentis
Il faudrait rompre la glace trouver la chaleur dans la nuit
Ne rien répondre aux connaissances quand on se retrouve pour un verre
Ce qui n’arrive plus trop souvent
C’est vrai qu’ils n’ont plus trop le temps
Et quelque part je les comprends
Entre le boulot et les gosses ils sourient peu mais sont heureux disent-ils
Je n’sais pas s’ils se forcent
On se raccroche à ce qu’on peut même si au fond nos vies sont vaines
Tous voués au déchirement nous avions des destins d’hymens