Les paroles de la chanson
« Desperado »
Gilbert Bécaud
Dans des spasmes de néon
Pleure un bandonéon
Ses larmes de tango
Et ma chambre a pris la mer
Je jouais Buenos Aires
Largué par un cargo
Sur le boulevard du rhum
Ça tangue un maximum
La rade est un radeau
J’ai le cœur vitriolé
La nuit m’a fusillé
D’une belle dans la peau
Et je me sens desperado
Dans mon verre de brandy
J’entends des mariachis
Qui jouent avec ma mort
Et je danse avec la haine
Des valses mexicaines
Je t’invite encore
Qui a tué Pancho Villa?
La belle qui s’en va
Ou le combat de trop?
C’est toujours pour une putain
Qu’aux portes du matin
Pleure le guérillero
Et je me sens desperado
Je suis seul et je suis nu
L’absence est revenue
Têtue comme un fado
Comme après le carnaval
Le grand soleil fait mal
Même au Corcovado
Et je me sens desperado
Pleure un bandonéon
Ses larmes de tango
Et ma chambre a pris la mer
Je jouais Buenos Aires
Largué par un cargo
Sur le boulevard du rhum
Ça tangue un maximum
La rade est un radeau
J’ai le cœur vitriolé
La nuit m’a fusillé
D’une belle dans la peau
Et je me sens desperado
Dans mon verre de brandy
J’entends des mariachis
Qui jouent avec ma mort
Et je danse avec la haine
Des valses mexicaines
Je t’invite encore
Qui a tué Pancho Villa?
La belle qui s’en va
Ou le combat de trop?
C’est toujours pour une putain
Qu’aux portes du matin
Pleure le guérillero
Et je me sens desperado
Je suis seul et je suis nu
L’absence est revenue
Têtue comme un fado
Comme après le carnaval
Le grand soleil fait mal
Même au Corcovado
Et je me sens desperado