Les paroles de la chanson
« Désobéissante »
Julien Clerc
Elle s’est pendue à mes basques,
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque
Elle s’enroule dans tous mes rêves,
Elle me dicte mot à mot
Ce que je lui dois, sans trêve
Pour elle, je cherche mes lumières,
Pour qu’elle aime s’endormir,
C’est elle qui me donne mes ailes
C’est par elle que je désire,
Elle est toute ma mémoire,
Tout l’amour du temps qui dort
Elle est, comme toujours, là,
À jamais et pour encore
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance,
Jamais elle ne fait silence,
Quand je dors, enfin elle danse
Je la sens à chaque geste,
À chacune de mes envies,
Je la sens comme elle me reste
Je ne sais pas la faire taire,
C’est elle qui me laisse croire
Et c’est pour elle que j’aime faire
Elle est faite de moi-même
Mais en fait je ne suis qu’elle,
Elle est l’ange que je garde
Elle est si forte et si frêle,
Elle connaît comme je pleure
Car mes larmes sont les siennes
Elle s’échappe dans mes sourires
Et je console ses peines
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance,
Jamais elle ne fait silence,
Quand je dors, enfin elle danse
Comme elle est désobéissante
Mais si tendre mon enfance,
Jamais elle ne fait silence,
Quand je dors, enfin elle danse
Elle s’est pendue à mes basques,
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque.
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque
Elle s’enroule dans tous mes rêves,
Elle me dicte mot à mot
Ce que je lui dois, sans trêve
Pour elle, je cherche mes lumières,
Pour qu’elle aime s’endormir,
C’est elle qui me donne mes ailes
C’est par elle que je désire,
Elle est toute ma mémoire,
Tout l’amour du temps qui dort
Elle est, comme toujours, là,
À jamais et pour encore
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance,
Jamais elle ne fait silence,
Quand je dors, enfin elle danse
Je la sens à chaque geste,
À chacune de mes envies,
Je la sens comme elle me reste
Je ne sais pas la faire taire,
C’est elle qui me laisse croire
Et c’est pour elle que j’aime faire
Elle est faite de moi-même
Mais en fait je ne suis qu’elle,
Elle est l’ange que je garde
Elle est si forte et si frêle,
Elle connaît comme je pleure
Car mes larmes sont les siennes
Elle s’échappe dans mes sourires
Et je console ses peines
Comme elle est envahissante
Et si douce mon enfance,
Jamais elle ne fait silence,
Quand je dors, enfin elle danse
Comme elle est désobéissante
Mais si tendre mon enfance,
Jamais elle ne fait silence,
Quand je dors, enfin elle danse
Elle s’est pendue à mes basques,
Toute enfouie dans mes cheveux
Et personne ne remarque.