Les paroles de la chanson
« Des hivers qui durent douze mois »
Serge Utgé-Royo
Il existe des murs d’importance
Abritant des palais imposants
Où s’engouffrent des vents immobiles
Où ne pénètre jamais le froid
Il existe des gens sans conscience
Qui signent des décrets malfaisants
Et radotent des lois imbéciles
Qui balaient la raison et le droit
Il existe des lieux d’insolence
A l’abri des gueux et des perdants
Où s’ébattent des princes futiles
Brûlant des fortunes dans la joie
Il existe dans la douce France
De la mort au milieu des vivants
Du désert au mitan de la ville
Des hivers qui durent douze mois
J’ai vu des regards sans existence
Des fantômes qui trompent le temps
Des humains aux gestes malhabiles
Qui mendient devant les cinémas
Tout un peuple garde le silence
Mais le vacarme est assourdissant
La détresse sans cesse défile
Et se blottit sous le moindre toit
Il existe des murs d’importance
Abritant des palais imposants
Où s’engouffrent des vents immobiles
Où ne pénètre jamais le froid
Il existe dans la douce France
De la mort au milieu des vivants
Du désert au mitan de la ville
Des hivers qui durent douze mois
Abritant des palais imposants
Où s’engouffrent des vents immobiles
Où ne pénètre jamais le froid
Il existe des gens sans conscience
Qui signent des décrets malfaisants
Et radotent des lois imbéciles
Qui balaient la raison et le droit
Il existe des lieux d’insolence
A l’abri des gueux et des perdants
Où s’ébattent des princes futiles
Brûlant des fortunes dans la joie
Il existe dans la douce France
De la mort au milieu des vivants
Du désert au mitan de la ville
Des hivers qui durent douze mois
J’ai vu des regards sans existence
Des fantômes qui trompent le temps
Des humains aux gestes malhabiles
Qui mendient devant les cinémas
Tout un peuple garde le silence
Mais le vacarme est assourdissant
La détresse sans cesse défile
Et se blottit sous le moindre toit
Il existe des murs d’importance
Abritant des palais imposants
Où s’engouffrent des vents immobiles
Où ne pénètre jamais le froid
Il existe dans la douce France
De la mort au milieu des vivants
Du désert au mitan de la ville
Des hivers qui durent douze mois