Les paroles de la chanson
« Derrière ta porte »
Cristof Gere
Derrière ta porte, je me tiens caché,
J’épie les bruits, les faits, les gestes
Les va-et-vient, les pas feutrés,
Toute ta vie qui me rejette
Je suis blotti, désemparé
Dans la pénombre je guette
Comme un voleur accaparé
Par sa petite conscience honnête
Mais là je ne vis plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute,
Comme une jeune pute
Si je descends de mon estal
Je n’ verrai plus le ciel là-haut
Il sera trop loin et trop pâle
Si je descends de mon échafaud
Mais là je ne vie plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute
Derrière ta porte, derrière ta porte
Je ne sais plus si tu t’y trouves
Il n’y a que le vide, si ça se trouve
Des idées de sang et de crimes
Des pensées froides de Machiavel
Parcourent mon corps jusqu’à sa cime
Au plus profond de ma cervelle
Si tu savais, si tu savais
Mon dieu tu l’ouvrirais cette porte
Pour me sortir de ce filet
Et de ses mailles que je supporte
Car là je ne vis plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute,
Comme une jeune pute
Un halo de lumière de deuil
Qui transparaît par la serrure
Ne me livre dans un linceul
Qu’un frêle murmure
Mais là je ne vis plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute,
Derrière ta porte, derrière ta porte
Je ne sais plus si tu t’y trouves
Il n’y a que le vide, si ça se trouve
Si ça se trouve
J’épie les bruits, les faits, les gestes
Les va-et-vient, les pas feutrés,
Toute ta vie qui me rejette
Je suis blotti, désemparé
Dans la pénombre je guette
Comme un voleur accaparé
Par sa petite conscience honnête
Mais là je ne vis plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute,
Comme une jeune pute
Si je descends de mon estal
Je n’ verrai plus le ciel là-haut
Il sera trop loin et trop pâle
Si je descends de mon échafaud
Mais là je ne vie plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute
Derrière ta porte, derrière ta porte
Je ne sais plus si tu t’y trouves
Il n’y a que le vide, si ça se trouve
Des idées de sang et de crimes
Des pensées froides de Machiavel
Parcourent mon corps jusqu’à sa cime
Au plus profond de ma cervelle
Si tu savais, si tu savais
Mon dieu tu l’ouvrirais cette porte
Pour me sortir de ce filet
Et de ses mailles que je supporte
Car là je ne vis plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute,
Comme une jeune pute
Un halo de lumière de deuil
Qui transparaît par la serrure
Ne me livre dans un linceul
Qu’un frêle murmure
Mais là je ne vis plus vraiment
Et tel un bourreau qui débute
Je tremble seul fatalement
Comme une jeune pute,
Derrière ta porte, derrière ta porte
Je ne sais plus si tu t’y trouves
Il n’y a que le vide, si ça se trouve
Si ça se trouve