Les paroles de la chanson
« Dépêche-toi de rire »
Jacques Douai
Dépêche-toi de rire,
Il en est encore temps.
Bientôt la poêle à frire
Et adieu le beau temps.
D’autres viendront quand même
Respirer le beau temps.
C’est pas toujours les mêmes,
Mais y’a toujours des gens.
Sous le premier empire
Y’avait des habitants.
Sous le second vampire
Y’en avait tout autant.
Même si c’est plus les mêmes,
Tu t’en iras comme eux,
Tu t’en iras quand même,
Tu t’en iras chez eux.
Dépêche-toi de rire,
Il en est encore temps.
Bientôt la poêle à frire
Et adieu le beau temps.
D’autres viendront quand même
Respirer le beau temps.
C’est pas toujours les mêmes,
Mais y’a toujours des gens.
C’est pas moi, c’est mes frères,
Qui vivront après moi.
Même chose que mon grand-père,
Qui vivait avant moi.
Même si c’est plus les mêmes,
On est content pour eux.
Nous d’avance on les aime,
Sans en être envieux.
Dépêche-toi de rire,
Il en est encore temps.
Bientôt la poêle à frire
Et adieu le beau temps.
D’autres viendront quand même
Respirer le beau temps.
C’est pas toujours les mêmes,
Mais y’a toujours des gens.
Il en est encore temps.
Bientôt la poêle à frire
Et adieu le beau temps.
D’autres viendront quand même
Respirer le beau temps.
C’est pas toujours les mêmes,
Mais y’a toujours des gens.
Sous le premier empire
Y’avait des habitants.
Sous le second vampire
Y’en avait tout autant.
Même si c’est plus les mêmes,
Tu t’en iras comme eux,
Tu t’en iras quand même,
Tu t’en iras chez eux.
Dépêche-toi de rire,
Il en est encore temps.
Bientôt la poêle à frire
Et adieu le beau temps.
D’autres viendront quand même
Respirer le beau temps.
C’est pas toujours les mêmes,
Mais y’a toujours des gens.
C’est pas moi, c’est mes frères,
Qui vivront après moi.
Même chose que mon grand-père,
Qui vivait avant moi.
Même si c’est plus les mêmes,
On est content pour eux.
Nous d’avance on les aime,
Sans en être envieux.
Dépêche-toi de rire,
Il en est encore temps.
Bientôt la poêle à frire
Et adieu le beau temps.
D’autres viendront quand même
Respirer le beau temps.
C’est pas toujours les mêmes,
Mais y’a toujours des gens.