Les paroles de la chanson
« Démence »
Sinik
Petit ouvre les yeux regarde ou va le monde
Claire Chazal ne nous annonce que des bombes,
Rien ne va les hypocrites sont accouplés
Alors des fois je tend la main à ceux qui rêvent de la couper.
Et puis j’ai vu mon oncle aller au ciel,
J’en ai tellement chialé ma race que tout mon corps en était sec,
Le couscous et la daronne qui plie du linge,
Et les nazis se mettent à faire le cri du singe.
Ma gueule tant de questions mais si peu de réponses,
Et le sourire ne vient que si je me défonce.
Immobile à regarder les siens qui sombrent, qui tombent
Mon ange gardien est un ancien gardien de prison,
Canalisé une fois la drogue dans le pochon.
Aux élections j’avais le choix entre un escroc et un cochon.
Puisque mes rêves se dilapident j’attend la mort en espèrant que mon nuage soit VIP.
Ni leurs condoléances, ni leurs pleurs, ni leur bouquet,
Mais ce putain de bonheur toujours overbooké,
Tellement de frères en GAV ou aux soins intensifs,
Tu comprendras que depuis je suis moins insensible
Frères je déteste le maire de la peinture et des pots de fleurs mais le quartier reste le même,
Les poignées de mains, les joues contre les joues
On essaye mais on échoue et nos mères comptent les jours.
[Refrain] :
Pow Pow, Ouvre les yeux regardent où va le monde.
Pow Pow dans les flingues dans les bombes et j’en ai honte.
Pow Pow rien ne va la tension est à son comble.
Pow Pow décidément le diable travaille à son compte.
Alors j’ai mal mais je me tais car je suis trop vaillant,
Pour que personne ne sache et que mes larmes ne soient pas trop voyant,
Sachez que chez nous c’est le bordel souvent les pères sont des fantômes et c’est Casper qui vient te border.
J’t’explique vers le ciel les yeux sont rivés, les flics ont retrouvés mon soss dans la rivière,
Tu comprendras que les hommes sont des ptites putes et tu ne trouveras de l’amour dans les yeux de ton pit bull.
Putain tout ses rêves qui se modifient, déménagement surprise quand les huissiers te délotifie.
Alors je crie et j’écrit sur ma copie car il y a ceux qui font du shoping et ceux qui volent à Shopi.
Négative attitude avec tout ce qu’on risque
Je ne crois pas que Lorie connaisse le 22 long-riff.
Personne ne peux les maitriser, personne ne les mâtes,
Après 3 joints ont a du mal à réviser les maths.
Petit frère le monde a changé doucement,
Mickael n’ai pu le king de la pop mais des attouchements.
Hollywood se montre à son avantage,
Bruce Willis sauve le monde mais ne peux rien contre les attentats.
[Refrain] x2
Alors ouvre les yeux regarde où va la terre,
Si t’as un père qui fait la gueule t’auras un fils qui fait la guerre.
Formellement reconnu derrière la vitre tu sens la mort qui se rapproche mais c’est la vie.
Ce qui me désarme, ce qui me déçoit, ceux qui commencent en arrachant des sacs finissent en arrachant des âmes.
Petit va à l ’école, fait la prière, rare sont les millionnaires qui s’arrêtent en 4ème.
Et toujours cette impression d’être maudit, moi je m’absente sans motif, moi rien ne me motive.
Malgrès tout mes effort le casier se rallonge, avec une mort qui sera lente, une route qui sera longue.
[Refrain] x2
Claire Chazal ne nous annonce que des bombes,
Rien ne va les hypocrites sont accouplés
Alors des fois je tend la main à ceux qui rêvent de la couper.
Et puis j’ai vu mon oncle aller au ciel,
J’en ai tellement chialé ma race que tout mon corps en était sec,
Le couscous et la daronne qui plie du linge,
Et les nazis se mettent à faire le cri du singe.
Ma gueule tant de questions mais si peu de réponses,
Et le sourire ne vient que si je me défonce.
Immobile à regarder les siens qui sombrent, qui tombent
Mon ange gardien est un ancien gardien de prison,
Canalisé une fois la drogue dans le pochon.
Aux élections j’avais le choix entre un escroc et un cochon.
Puisque mes rêves se dilapident j’attend la mort en espèrant que mon nuage soit VIP.
Ni leurs condoléances, ni leurs pleurs, ni leur bouquet,
Mais ce putain de bonheur toujours overbooké,
Tellement de frères en GAV ou aux soins intensifs,
Tu comprendras que depuis je suis moins insensible
Frères je déteste le maire de la peinture et des pots de fleurs mais le quartier reste le même,
Les poignées de mains, les joues contre les joues
On essaye mais on échoue et nos mères comptent les jours.
[Refrain] :
Pow Pow, Ouvre les yeux regardent où va le monde.
Pow Pow dans les flingues dans les bombes et j’en ai honte.
Pow Pow rien ne va la tension est à son comble.
Pow Pow décidément le diable travaille à son compte.
Alors j’ai mal mais je me tais car je suis trop vaillant,
Pour que personne ne sache et que mes larmes ne soient pas trop voyant,
Sachez que chez nous c’est le bordel souvent les pères sont des fantômes et c’est Casper qui vient te border.
J’t’explique vers le ciel les yeux sont rivés, les flics ont retrouvés mon soss dans la rivière,
Tu comprendras que les hommes sont des ptites putes et tu ne trouveras de l’amour dans les yeux de ton pit bull.
Putain tout ses rêves qui se modifient, déménagement surprise quand les huissiers te délotifie.
Alors je crie et j’écrit sur ma copie car il y a ceux qui font du shoping et ceux qui volent à Shopi.
Négative attitude avec tout ce qu’on risque
Je ne crois pas que Lorie connaisse le 22 long-riff.
Personne ne peux les maitriser, personne ne les mâtes,
Après 3 joints ont a du mal à réviser les maths.
Petit frère le monde a changé doucement,
Mickael n’ai pu le king de la pop mais des attouchements.
Hollywood se montre à son avantage,
Bruce Willis sauve le monde mais ne peux rien contre les attentats.
[Refrain] x2
Alors ouvre les yeux regarde où va la terre,
Si t’as un père qui fait la gueule t’auras un fils qui fait la guerre.
Formellement reconnu derrière la vitre tu sens la mort qui se rapproche mais c’est la vie.
Ce qui me désarme, ce qui me déçoit, ceux qui commencent en arrachant des sacs finissent en arrachant des âmes.
Petit va à l ’école, fait la prière, rare sont les millionnaires qui s’arrêtent en 4ème.
Et toujours cette impression d’être maudit, moi je m’absente sans motif, moi rien ne me motive.
Malgrès tout mes effort le casier se rallonge, avec une mort qui sera lente, une route qui sera longue.
[Refrain] x2