Les paroles de la chanson
« Déjà »
Teri Moïse
Qui a tourné cette page blanche?
Il me restais des mots à écrire
Une grande d’idée sur l’inexistence
L’illusion, le souhait, les désirs
Si curieux ce regard en arrière
Cette vision là est tellement claire
Si j’avais vu ou si j’avais su voir
Mais la sagesse vient parfois trop tard
Et déjà les souvenirs d’hier
Ces choix ont-ils rendu fier
Miser trop sur le temps
Où on disait "quand je serai grand"
Mais ces pas ne sont plus à faire
Jeune et naïf, quelle nonchalance
L’avenir à venir nous importait peu
Les coeurs voulaient battre les méchants
La peur fais qu’on devienne l’un d’eux
La vue sur le passé est si parfaite
On sait toujours ce qu’on aurait du être
J’allais me chercher je voulais voir
Mais ce temps imparfait est avare
Et déjà les souvenirs d’hier
Ces choix ont-ils rendu fier
Miser trop sur le temps
Où on disait "quand je serai grand"
Mais ces pas ne sont plus à faire
Elle reste un mystère, cette comète
Sur laquelle je voulait construire
Mon palais n’est toujours qu’une maquette
Mais plus le courage pour bâtir
Quel curieux regard sur le passé
Cette vue n’est jamais obstruée
Je voulais voir où j’allais me trouver
Mais cette sagesse vient toujours après
Et déjà les souvenirs d’hier
Ces choix ont-ils rendu fier
Miser trop sur le temps
Où on disait "quand je serai grand"
Mais ces pas ne sont plus à faire
Il me restais des mots à écrire
Une grande d’idée sur l’inexistence
L’illusion, le souhait, les désirs
Si curieux ce regard en arrière
Cette vision là est tellement claire
Si j’avais vu ou si j’avais su voir
Mais la sagesse vient parfois trop tard
Et déjà les souvenirs d’hier
Ces choix ont-ils rendu fier
Miser trop sur le temps
Où on disait "quand je serai grand"
Mais ces pas ne sont plus à faire
Jeune et naïf, quelle nonchalance
L’avenir à venir nous importait peu
Les coeurs voulaient battre les méchants
La peur fais qu’on devienne l’un d’eux
La vue sur le passé est si parfaite
On sait toujours ce qu’on aurait du être
J’allais me chercher je voulais voir
Mais ce temps imparfait est avare
Et déjà les souvenirs d’hier
Ces choix ont-ils rendu fier
Miser trop sur le temps
Où on disait "quand je serai grand"
Mais ces pas ne sont plus à faire
Elle reste un mystère, cette comète
Sur laquelle je voulait construire
Mon palais n’est toujours qu’une maquette
Mais plus le courage pour bâtir
Quel curieux regard sur le passé
Cette vue n’est jamais obstruée
Je voulais voir où j’allais me trouver
Mais cette sagesse vient toujours après
Et déjà les souvenirs d’hier
Ces choix ont-ils rendu fier
Miser trop sur le temps
Où on disait "quand je serai grand"
Mais ces pas ne sont plus à faire