Les paroles de la chanson
« Décembre »
Marc Seberg
Quand la chair à la neige s’unit
Pas d’anneau d’or comme à Venise
Un uniforme perlé de larmes
Que la brume insidieuse délave
Un pur-sang rebelle au galop
L’entraîne dans une course incertaine
Un flocon de neige de trop
Une rumeur lointaine d’avalanche
Pour lui, nul rire mais l’attente
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie mais l’attente
Et le vide et le manque
La vie n’a pas eu l’élégance
De lui pardonner ses errances
Seule la mort aura l’indulgence
Un certain matin de décembre
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie, le néant
Pour lui, plus rien mais le vide
Quelques cendres en décembre
Décembre
Au fond d’une cuillère
Le reflet de son univers s’est inversé
Sept dents de lait, sept perles noires
D’un bois ébène, d’un blanc ivoire
Les jours, les nuits de la semaine
Egrènent un chapelet de prières
Prières
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie, quelques cendres
Pour lui, plus rien mais le vide de décembre
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie quelques cendres
Pour lui, plus rien mais le vide de décembre
Et toutes ces merveilles au fond de toi
Que je n’ai pas su te faire voir
Et toutes ces beautés au fond de toi
Que tu n’as jamais voulu voir
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie, quelques cendres
Pour lui, plus rien, pour moi, c’est décembre
L’éternel décembre
Pas d’anneau d’or comme à Venise
Un uniforme perlé de larmes
Que la brume insidieuse délave
Un pur-sang rebelle au galop
L’entraîne dans une course incertaine
Un flocon de neige de trop
Une rumeur lointaine d’avalanche
Pour lui, nul rire mais l’attente
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie mais l’attente
Et le vide et le manque
La vie n’a pas eu l’élégance
De lui pardonner ses errances
Seule la mort aura l’indulgence
Un certain matin de décembre
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie, le néant
Pour lui, plus rien mais le vide
Quelques cendres en décembre
Décembre
Au fond d’une cuillère
Le reflet de son univers s’est inversé
Sept dents de lait, sept perles noires
D’un bois ébène, d’un blanc ivoire
Les jours, les nuits de la semaine
Egrènent un chapelet de prières
Prières
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie, quelques cendres
Pour lui, plus rien mais le vide de décembre
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie quelques cendres
Pour lui, plus rien mais le vide de décembre
Et toutes ces merveilles au fond de toi
Que je n’ai pas su te faire voir
Et toutes ces beautés au fond de toi
Que tu n’as jamais voulu voir
Pour lui, nul chant mais le vide
Pour lui, nulle vie, quelques cendres
Pour lui, plus rien, pour moi, c’est décembre
L’éternel décembre