Les paroles de la chanson
« De la goûte à la mer »
Loic Leproust
Refrain
De la goûte à la mer
S’égoutte la terre
De la goûte à la mer
Pleure notre terre
Sur les pentes de la montagne
Croît paisiblement l’herbe du pâturage
Qu’une agréable humidité baigne
La terre suinte ces gouttelettes sages
Refrain
En glissants lentement des brindilles vertes
Dévalant d’heure en heure de tige en tige
L’eau s’assemble en cette décente alerte
Toutes se dirigent comme dans un grand vertige
Refrain
Déjà des filons coulent ils sont saccadés
Un filon en rejoint un autre, ils se mélangent
Sa vitesse augmente, un autre d’avalé
Par millier ils s’épousent dans un mirage
Refrain
Et c’est dans le lit qu’il s’est fait que le ru
S’est couché au pied de la grande colline
Heureux, il se laisse couler tout ému
Emportant avec lui la petite pierre câline
Refrain
La roulant de jour en jour vers la cascade
Le torrent boit un des ru de l’autre versant
Les truites y vivent gaiement et s’y baladent
Au périodes des frayes il devient ardant
Refrain
Impassible à la vie, ce torrent grandit
Absorbant tous ses frères du voyage
La rivière mange cette plaine blondie
Illuminant la splendeur du paysage
Refrain
Déjà la rivière se métamorphose
En oubliant derrière elle son enfance
Le fleuve, s’épanouit prenant la pose
Il s’écoule sans la moindre cadence
Refrain
Il se traîne comme pour aller mourir
Autour de lui tout est changé, même l’air
Le voyage était long, tu peux dormir
Maintenant que tu es arrivé à la mer
Refrain
De la goûte à la mer
S’égoutte la terre
De la goûte à la mer
Pleure notre terre
Sur les pentes de la montagne
Croît paisiblement l’herbe du pâturage
Qu’une agréable humidité baigne
La terre suinte ces gouttelettes sages
Refrain
En glissants lentement des brindilles vertes
Dévalant d’heure en heure de tige en tige
L’eau s’assemble en cette décente alerte
Toutes se dirigent comme dans un grand vertige
Refrain
Déjà des filons coulent ils sont saccadés
Un filon en rejoint un autre, ils se mélangent
Sa vitesse augmente, un autre d’avalé
Par millier ils s’épousent dans un mirage
Refrain
Et c’est dans le lit qu’il s’est fait que le ru
S’est couché au pied de la grande colline
Heureux, il se laisse couler tout ému
Emportant avec lui la petite pierre câline
Refrain
La roulant de jour en jour vers la cascade
Le torrent boit un des ru de l’autre versant
Les truites y vivent gaiement et s’y baladent
Au périodes des frayes il devient ardant
Refrain
Impassible à la vie, ce torrent grandit
Absorbant tous ses frères du voyage
La rivière mange cette plaine blondie
Illuminant la splendeur du paysage
Refrain
Déjà la rivière se métamorphose
En oubliant derrière elle son enfance
Le fleuve, s’épanouit prenant la pose
Il s’écoule sans la moindre cadence
Refrain
Il se traîne comme pour aller mourir
Autour de lui tout est changé, même l’air
Le voyage était long, tu peux dormir
Maintenant que tu es arrivé à la mer
Refrain