Les paroles de la chanson
« De l'or entre les mains »
Saya
Quel bonheur de trouver
Ce qu’on a toujours cherché
Quand on pense que d’autres s’ignorent
Alors qu’ils auraient pu se donner une chanse
Mais faut-il rappeler
Que rien n’est acquis d’avance
Les alliances se meurent
Si l’écart est trop grand
Cet anneau qui te lie à son présent
Fait le vivre un peu plus longtemps
Tu as de l’or entre les mains
Sur ton chemin
Mille et un besoins
Mais ne va pas trop loin
De l’or entre les mains
Que tu puisses enfin
Réaliser un bon matin
Qu’elle pourrait être loin
A défaut de te prendre en mains
Si tu penses avoir le temps
De passer à côté de son amour, prudence
Car les murs pourront à coup sûr
Ecouter les amants
Pour trahir tous ceux
Qui se vident de leur sang
Cet anneau qui te lie à son présent
Fait le vivre un peu plus longtemps
Les médailles ont toutes un revers
Côté coeur et côté pierre
A toi de choisir lequel sera ton repère
Les raisons qui t’obligent à fuir
Qui t’obligent à te mentir
Sont les mêmes raisons
Qui depuis toujours te font souffrir
De l’or
Entre tes mains
De l’or, de l’or
Mais ne va pas trop loin, ne va pas trop loin
Ce qu’on a toujours cherché
Quand on pense que d’autres s’ignorent
Alors qu’ils auraient pu se donner une chanse
Mais faut-il rappeler
Que rien n’est acquis d’avance
Les alliances se meurent
Si l’écart est trop grand
Cet anneau qui te lie à son présent
Fait le vivre un peu plus longtemps
Tu as de l’or entre les mains
Sur ton chemin
Mille et un besoins
Mais ne va pas trop loin
De l’or entre les mains
Que tu puisses enfin
Réaliser un bon matin
Qu’elle pourrait être loin
A défaut de te prendre en mains
Si tu penses avoir le temps
De passer à côté de son amour, prudence
Car les murs pourront à coup sûr
Ecouter les amants
Pour trahir tous ceux
Qui se vident de leur sang
Cet anneau qui te lie à son présent
Fait le vivre un peu plus longtemps
Les médailles ont toutes un revers
Côté coeur et côté pierre
A toi de choisir lequel sera ton repère
Les raisons qui t’obligent à fuir
Qui t’obligent à te mentir
Sont les mêmes raisons
Qui depuis toujours te font souffrir
De l’or
Entre tes mains
De l’or, de l’or
Mais ne va pas trop loin, ne va pas trop loin