Les paroles de la chanson
« De face »
Patrick Bruel
J’ai caché dans ma tête
Mes angoisses, mes défaites.
J’ai mis au fond d’ mon cœur
Tous les soirs de rancœur.
J’ai donné des sourires
Quand j’avais rien à dire.
J’ai joué tel’ment d’ fois
Des rôles qui m’allaient pas.
J’ai maquillé mes yeux,
Inventé des ciels bleus
A qui voulait comprendre,
A qui voulait m’attendre.
J’ai cherché d’ la tendresse
Mais sans laisser d’adresse.
Aujourd’hui je suis là
Avec au fond de moi
Deux faces, deux faces,
Envie d’ se retrouver de face,
Deux faces, deux faces,
Celle que tu donnes, celle que tu caches.
De face, de face,
Tu paumes, un autre prend ta place.
S’ regarder dans une glace,
Tant qu’il reste de la place
Dans c’ monde où quoi qu’ tu fasses,
Soit tu tombes pile, soit tu t’effaces.
Courir dans tous les sens
Pour guérir une absence,
Tourner sur des roulettes
Où y’ a que des peut-être,
Des casinos bidons
Où faut jouer pour de bon,
Un père qui passe, qui manque,
Mais j’ f’rai sauter la banque.
De face, de face,
Envie d’ se retrouver de face.
Deux faces, deux faces,
Celle que tu donnes, celle que tu caches.
De face, de face,
Tu paumes, un autre prend ta place.
S’ regarder dans une glace,
Tant qu’il reste de la place
Dans c’ monde où, quoi qu’ tu fasses,
Soit tu tombes pile, soit tu t’effaces.
De face, de face,
Envie se retrouver de face.
Deux faces, deux faces,
Celle que tu donnes, celle que tu caches.
De face, de face,
Tu paumes, un autre prend ta place.
S’ regarder dans une glace
Tant qu’il reste de la place.
Mes angoisses, mes défaites.
J’ai mis au fond d’ mon cœur
Tous les soirs de rancœur.
J’ai donné des sourires
Quand j’avais rien à dire.
J’ai joué tel’ment d’ fois
Des rôles qui m’allaient pas.
J’ai maquillé mes yeux,
Inventé des ciels bleus
A qui voulait comprendre,
A qui voulait m’attendre.
J’ai cherché d’ la tendresse
Mais sans laisser d’adresse.
Aujourd’hui je suis là
Avec au fond de moi
Deux faces, deux faces,
Envie d’ se retrouver de face,
Deux faces, deux faces,
Celle que tu donnes, celle que tu caches.
De face, de face,
Tu paumes, un autre prend ta place.
S’ regarder dans une glace,
Tant qu’il reste de la place
Dans c’ monde où quoi qu’ tu fasses,
Soit tu tombes pile, soit tu t’effaces.
Courir dans tous les sens
Pour guérir une absence,
Tourner sur des roulettes
Où y’ a que des peut-être,
Des casinos bidons
Où faut jouer pour de bon,
Un père qui passe, qui manque,
Mais j’ f’rai sauter la banque.
De face, de face,
Envie d’ se retrouver de face.
Deux faces, deux faces,
Celle que tu donnes, celle que tu caches.
De face, de face,
Tu paumes, un autre prend ta place.
S’ regarder dans une glace,
Tant qu’il reste de la place
Dans c’ monde où, quoi qu’ tu fasses,
Soit tu tombes pile, soit tu t’effaces.
De face, de face,
Envie se retrouver de face.
Deux faces, deux faces,
Celle que tu donnes, celle que tu caches.
De face, de face,
Tu paumes, un autre prend ta place.
S’ regarder dans une glace
Tant qu’il reste de la place.