Les paroles de la chanson
« Dans leur baiser »
Édith Piaf
Il y avait dans leur baiser,
Dans leur baiser désespéré,
Tous les regrets, tous les chagrins du monde entier,
Tout le chagrin de nos amants
Que le destin va séparer,
De deux amants qui ont compris
Que c’est fini...
Ce n’était, parmi tant d’autres,
Qu’un pauvre baiser d’adieu.
Ce n’étaient, parmi tant d’autres,
Que deux cœurs très malheureux.
Il y avait dans leur baiser,
Dans leur baiser désespéré,
Le désarroi d’un grand amour qui s’est brisé,
Le désarroi d’un grand amour
Contre lequel tout s’est ligué.
Il y avait dans leur baiser
Deux vies ratées.
Ce n’était, parmi tant d’autres,
Qu’un pauvre baiser d’adieu.
Ce n’étaient, parmi tant d’autres,
Que deux cœurs très malheureux.
Il y avait dans leur baiser,
Dans leur baiser désespéré,
Ce grand secret dont les passants se moquaient bien,
Dont les passants se moquaient bien
Comme ils s’étaient moqués de nous,
Moqués de nous, ah! Ce triste soir
Comme ce soir...
Ce n’était, parmi tant d’autres,
Qu’un pauvre baiser d’adieu
Mais soudain, c’était le nôtre,
Mais soudain, c’était nous deux...
Et c’était toi, et c’était nous
Que tout d’un coup je voyais là...
Dans ce baiser,
Dans ce baiser désespéré...
Dans leur baiser désespéré,
Tous les regrets, tous les chagrins du monde entier,
Tout le chagrin de nos amants
Que le destin va séparer,
De deux amants qui ont compris
Que c’est fini...
Ce n’était, parmi tant d’autres,
Qu’un pauvre baiser d’adieu.
Ce n’étaient, parmi tant d’autres,
Que deux cœurs très malheureux.
Il y avait dans leur baiser,
Dans leur baiser désespéré,
Le désarroi d’un grand amour qui s’est brisé,
Le désarroi d’un grand amour
Contre lequel tout s’est ligué.
Il y avait dans leur baiser
Deux vies ratées.
Ce n’était, parmi tant d’autres,
Qu’un pauvre baiser d’adieu.
Ce n’étaient, parmi tant d’autres,
Que deux cœurs très malheureux.
Il y avait dans leur baiser,
Dans leur baiser désespéré,
Ce grand secret dont les passants se moquaient bien,
Dont les passants se moquaient bien
Comme ils s’étaient moqués de nous,
Moqués de nous, ah! Ce triste soir
Comme ce soir...
Ce n’était, parmi tant d’autres,
Qu’un pauvre baiser d’adieu
Mais soudain, c’était le nôtre,
Mais soudain, c’était nous deux...
Et c’était toi, et c’était nous
Que tout d’un coup je voyais là...
Dans ce baiser,
Dans ce baiser désespéré...