Les paroles de la chanson
« Dans les jardins des baladins »
Yves Duteil
Dans les jardins des baladins
Lorsque les gens s’arrêtent un jour
C’est pour cueillir un peu d’amour
Et de bonheur, le temps d’une heure
Et pour s’en réchauffer le cœur
Mais autrefois, au temps des rois
Il existait une légende : les fleurs toujours
Sous leurs velours cachaient des philtres d’amour
Et leur chagrin dans un parfum
Pour attirer les baladins
Dans les jardins des baladins
Quelques pensées fleurissent un jour
En dessinant des mots d’amour
Sur des chemins de parchemin
Jaillis du coeur d’un baladin
Et si parfois, au temps des rois
Ils inventaient quelques légendes
Les troubadours, dans leurs discours
Cachaient des monceaux d’amour
Que le destin leur rendait bien
Au long des jours et des chemins
Dans leurs jardins de parchemin
Les baladins vieillissent un jour
En écrivant des mots d’amour
Et leur bonheur, le temps d’une heure
Viendra vous réchauffer le cœur
Si leurs pensées se sont fanées
Il ne faut pas verser de larmes
Mille rosées en ont posé
Depuis, les siècles ont passé
Et le chagrin n’est qu’un parfum
Dans les jardins des baladins
Lorsque les gens s’arrêtent un jour
C’est pour cueillir un peu d’amour
Et de bonheur, le temps d’une heure
Et pour s’en réchauffer le cœur
Mais autrefois, au temps des rois
Il existait une légende : les fleurs toujours
Sous leurs velours cachaient des philtres d’amour
Et leur chagrin dans un parfum
Pour attirer les baladins
Dans les jardins des baladins
Quelques pensées fleurissent un jour
En dessinant des mots d’amour
Sur des chemins de parchemin
Jaillis du coeur d’un baladin
Et si parfois, au temps des rois
Ils inventaient quelques légendes
Les troubadours, dans leurs discours
Cachaient des monceaux d’amour
Que le destin leur rendait bien
Au long des jours et des chemins
Dans leurs jardins de parchemin
Les baladins vieillissent un jour
En écrivant des mots d’amour
Et leur bonheur, le temps d’une heure
Viendra vous réchauffer le cœur
Si leurs pensées se sont fanées
Il ne faut pas verser de larmes
Mille rosées en ont posé
Depuis, les siècles ont passé
Et le chagrin n’est qu’un parfum
Dans les jardins des baladins