Les paroles de la chanson
« D'osaka à tokyo »
Allain
Mon amour, je t’écris dans le Boeing en feu
Qui plonge vers la mer. Je ne reviendrai plus
D’Osaka à Tokyo, je suis devenu vieux
Ai-je fait sur la Terre ce qu’il aurait fallu?
Je prie pour qu’on retrouve ce dernier mot de moi
Sous cent tonnes d’acier au fond de l’océan
Devant, c’est la montagne, mon coeur sur la paroi
Se brisera bientôt. Embrasse les enfants
Je te vois au hublot et les petits qui courent
Sur le flanc des nuages. Il ne faut pas qu’on pleure
Si j’avais su qu’hier était le dernier jour
Où je tenais vos mains, j’aurais été meilleur
Mon destin, ça n’était qu’une paire de ciseaux
Qui guettait mon envol pour me trancher les ailes
Ma vie va s’effacer des murmures de Tokyo
Je plonge vers la mer, le ciel me vienne en aide
Mon amour, je t’écris dans le Boeing en feu
Qui plonge vers la mer. Je ne reviendrai plus
D’Osaka à Tokyo, je suis devenu vieux
Ai-je fait sur la Terre ce qu’il aurait fallu?
Je prie pour qu’on retrouve ce dernier mot de moi
Sous cent tonnes d’acier au fond de l’océan
Devant, c’est la montagne, mon coeur sur la paroi
Se brisera bientôt. Embrasse les enfants
Je te vois au hublot et les petits qui courent
Sur le flanc des nuages. Il ne faut pas qu’on pleure
Si j’avais su qu’hier était le dernier jour
Où je tenais vos mains, j’aurais été meilleur
Mon destin, ça n’était qu’une paire de ciseaux
Qui guettait mon envol pour me trancher les ailes
Ma vie va s’effacer des murmures de Tokyo
Je plonge vers la mer, le ciel me vienne en aide
Mon amour, je t’écris dans le Boeing en feu