Les paroles de la chanson
« Croqueuse de rêves »
Lynda Lemay
Te voilà, petite femme fatale
Petite fleur tu ouvres tout grands tes pétales
T’es belle avec ton cœur en éveil
Mais fais gaffe aux rayons du soleil
Te voilà, petite fille qui pousse
Tu ris, tu brilles de toute ta jolie frimousse
T’es prête à t’envoler vers le ciel
Mais fais gaffe en déployant les ailes
Je t’ai donné la vie
L’avenir t’appartient
Vas-y, va jusqu’au bout
Te voilà, petite adolescente
Juste assez sage et tout juste assez insolente
Te voilà dévalant le chemin
Qui t’éloigne un petit peu du mien
Te voilà, jolie croqueuse de rêves
Toujours un nouveau projet sur le bout des lèvres
Te voilà dévalant les saisons
Les deux yeux plantés dans l’horizon
Je t’ai donné la vie
L’avenir t’appartient
Vas-y, va jusqu’au bout
Te voilà au seuil de la première
Histoire d’amour, première petite histoire de guerre
La naïveté brandie comme une arme
Non, tu n’ seras pas à l’abri des larmes
Mais quand il fera gris sur ton passage
Quand y aura trop de pluie partout sur ton visage
Le trajet ne sera jamais trop long
Reviens faire un tour à la maison
Je t’ai donné la vie
Alors profites-en bien
Vas-y, va jusqu’au bout
Mais, bon, de temps en temps
Reviens me faire un petit coucou
Coucou, coucou, houhou
Petite fleur tu ouvres tout grands tes pétales
T’es belle avec ton cœur en éveil
Mais fais gaffe aux rayons du soleil
Te voilà, petite fille qui pousse
Tu ris, tu brilles de toute ta jolie frimousse
T’es prête à t’envoler vers le ciel
Mais fais gaffe en déployant les ailes
Je t’ai donné la vie
L’avenir t’appartient
Vas-y, va jusqu’au bout
Te voilà, petite adolescente
Juste assez sage et tout juste assez insolente
Te voilà dévalant le chemin
Qui t’éloigne un petit peu du mien
Te voilà, jolie croqueuse de rêves
Toujours un nouveau projet sur le bout des lèvres
Te voilà dévalant les saisons
Les deux yeux plantés dans l’horizon
Je t’ai donné la vie
L’avenir t’appartient
Vas-y, va jusqu’au bout
Te voilà au seuil de la première
Histoire d’amour, première petite histoire de guerre
La naïveté brandie comme une arme
Non, tu n’ seras pas à l’abri des larmes
Mais quand il fera gris sur ton passage
Quand y aura trop de pluie partout sur ton visage
Le trajet ne sera jamais trop long
Reviens faire un tour à la maison
Je t’ai donné la vie
Alors profites-en bien
Vas-y, va jusqu’au bout
Mais, bon, de temps en temps
Reviens me faire un petit coucou
Coucou, coucou, houhou