Les paroles de la chanson
« Courir sur les luzernes »
Philippe Forcioli
Courir sur des luzernes
Qui n’auraient pas de fin
Ni de commencement
S’enfuir de la caserne
Voguer au firmament
D’étoiles et d’or fin
La lune est bien trop belle
Si tant qu’on ne la voit
J’imagine un ballon
De violine grêle
Piqué d’un gros frelon
Et qui flotte sur moi
Au loin les inquiétudes
De l’aube finissant
Et si le jour s’en vient
Jouet des servitudes
Il ne m’importe rien
Qu’il fuit comme passant
La fraîche libellule
Et son brillant envol
Raie le nard du bosquet
Sa robe de tulle
S’ouvre comme un bouquet
Je l’ai vue, foi de fol
Allez fleurir les tombes
Des oiseaux du printemps
Les oiseaux du château
Tombés aux hécatombes
Allez passe râteau
Allez griffe le temps
C’est l’harmonie du rêve
Qui guide tous mes pas
Je peux aller furtif
Aux enfers dans la sève
D’une vie ou d’un if
Mon rêve ne meurt pas
De verdure et luzerne
J’ai semé mon esprit
J’ai planté un ruisseau
Au fond de ma caserne
J’ai fait naître un oiseau
Je chante et il rit
La pierre de tristesse
J’en ai fait un bijou
De larmes ciselé
Dédié à mon altesse
Je suis roi sans palais
D’or. C’est ma vie. J’y joue
Wahdi fe rih wa rabie
Akalni seghir we hayem
Netmecha, nejri we ntir,
Sobt rohi sghir hayem
Hssebt rohi we sorghri dayem
Dayem
Qui n’auraient pas de fin
Ni de commencement
S’enfuir de la caserne
Voguer au firmament
D’étoiles et d’or fin
La lune est bien trop belle
Si tant qu’on ne la voit
J’imagine un ballon
De violine grêle
Piqué d’un gros frelon
Et qui flotte sur moi
Au loin les inquiétudes
De l’aube finissant
Et si le jour s’en vient
Jouet des servitudes
Il ne m’importe rien
Qu’il fuit comme passant
La fraîche libellule
Et son brillant envol
Raie le nard du bosquet
Sa robe de tulle
S’ouvre comme un bouquet
Je l’ai vue, foi de fol
Allez fleurir les tombes
Des oiseaux du printemps
Les oiseaux du château
Tombés aux hécatombes
Allez passe râteau
Allez griffe le temps
C’est l’harmonie du rêve
Qui guide tous mes pas
Je peux aller furtif
Aux enfers dans la sève
D’une vie ou d’un if
Mon rêve ne meurt pas
De verdure et luzerne
J’ai semé mon esprit
J’ai planté un ruisseau
Au fond de ma caserne
J’ai fait naître un oiseau
Je chante et il rit
La pierre de tristesse
J’en ai fait un bijou
De larmes ciselé
Dédié à mon altesse
Je suis roi sans palais
D’or. C’est ma vie. J’y joue
Wahdi fe rih wa rabie
Akalni seghir we hayem
Netmecha, nejri we ntir,
Sobt rohi sghir hayem
Hssebt rohi we sorghri dayem
Dayem