Les paroles de la chanson
« Courage »
Amylie
Mon courage n’avait vu pire
Que mes deux mains gauches pour le tenir
Devant toi pour tout te dire
J’avais les mots quant au respire
Il s’était lui-même retenu
Fixé si près du but
Et mon visage violacé
Minait ma crédibilité
En vérité, il m’a fallu mentir
Sur la tristesse que mon bonheur éprouve
De n’être jamais complet, car l’amour blessé
Finit par se compromettre et s’entêter
Et à la hauteur
De ma crédibilité
À cet instant, devant toi
Le ridicule aurait pu me tuer
Mais comme la suite ne serait qu’un regret
Si encore une fois je fuyais
Je préfère me contenir
Avec ce qu’il me reste dans les mains
Je préfère me dire
Qu’il m’en restera encore demain
Mon courage n’avait vu pire
Que le mal adroit de ces mains
Plus habile que je ne le fus
Pour te garder près de moi
Quand, au moment de vérité
Je n’ai su que mentir
Et au premier frisson éprouvé
Je n’ai fait que fuir
Me plaignant du malheur
Après qui je cours
Sous prétexte que le bonheur ne se tient plus debout
Car au bord de l’amour, soit l’on recule, soit l’on tombe.
Mais comme la vie n’est parfois qu’une suite de regrets
La lâcheté peut bien se trouver une autre épaule pour s’appuyer
Je préfère me contenir
Avec ce qu’il me reste dans les mains
Je préfère me dire
Qu’il m’en restera encore demain
Que mes deux mains gauches pour le tenir
Devant toi pour tout te dire
J’avais les mots quant au respire
Il s’était lui-même retenu
Fixé si près du but
Et mon visage violacé
Minait ma crédibilité
En vérité, il m’a fallu mentir
Sur la tristesse que mon bonheur éprouve
De n’être jamais complet, car l’amour blessé
Finit par se compromettre et s’entêter
Et à la hauteur
De ma crédibilité
À cet instant, devant toi
Le ridicule aurait pu me tuer
Mais comme la suite ne serait qu’un regret
Si encore une fois je fuyais
Je préfère me contenir
Avec ce qu’il me reste dans les mains
Je préfère me dire
Qu’il m’en restera encore demain
Mon courage n’avait vu pire
Que le mal adroit de ces mains
Plus habile que je ne le fus
Pour te garder près de moi
Quand, au moment de vérité
Je n’ai su que mentir
Et au premier frisson éprouvé
Je n’ai fait que fuir
Me plaignant du malheur
Après qui je cours
Sous prétexte que le bonheur ne se tient plus debout
Car au bord de l’amour, soit l’on recule, soit l’on tombe.
Mais comme la vie n’est parfois qu’une suite de regrets
La lâcheté peut bien se trouver une autre épaule pour s’appuyer
Je préfère me contenir
Avec ce qu’il me reste dans les mains
Je préfère me dire
Qu’il m’en restera encore demain