Les paroles de la chanson
« Copito de nieve de barcelone »
Enzo Enzo
Ne ratons pas le train
Il n’aime pas attendre
Ou nous serions contraints
De remettre en septembre
La visite promise quand, finie la saison
Des petites chemises, il reste à la maison
Et n’veut plus voir personne
Copito de nieve de Barcelone
C’est notre rendez-vous
Quand les oranges naissent
J’aurais honte, j’avoue, de rater ma promesse
Pas pouvoir se croiser des mots entre les grilles
Balancer un baiser à mon copain gorille
Mon complice, mon clone
Copito de nieve de Barcelone
Et si mes yeux rougissent
Ce n’est pas qu’on soit triste
Mais sous nos pieds un monde résonne
Entre Paris et Barcelone
C’est un songe en hiver
Il a le poil de neige, il est doux et sévère
Et je me dis "que n’ai-je cent mille ans de moins
Pour pouvoir lui parler,
Bégailler dans nos mains nos souvenirs, nos plaies,
You and me are alone
Copito de nieve de Barcelone"
Tu verrais, faut le voir
Enrouler ses bras blancs
Contre un grand singe noir
Qui se croit son amant,
Posant pour la photo en starlette de gala
Dans ses dents en étau croquant du chocolat
Ou une demi-pomme
Copito de nieve de Barcelone
Ne ratons pas le train
Il n’aime pas attendre
Ou nous serions contraints
De remettre en septembre
La visite promise quand, finie la saison
Des petites chemises, il reste à la maison
Et n’veut plus voir personne
Copito de nieve de Barcelone
Il n’aime pas attendre
Ou nous serions contraints
De remettre en septembre
La visite promise quand, finie la saison
Des petites chemises, il reste à la maison
Et n’veut plus voir personne
Copito de nieve de Barcelone
C’est notre rendez-vous
Quand les oranges naissent
J’aurais honte, j’avoue, de rater ma promesse
Pas pouvoir se croiser des mots entre les grilles
Balancer un baiser à mon copain gorille
Mon complice, mon clone
Copito de nieve de Barcelone
Et si mes yeux rougissent
Ce n’est pas qu’on soit triste
Mais sous nos pieds un monde résonne
Entre Paris et Barcelone
C’est un songe en hiver
Il a le poil de neige, il est doux et sévère
Et je me dis "que n’ai-je cent mille ans de moins
Pour pouvoir lui parler,
Bégailler dans nos mains nos souvenirs, nos plaies,
You and me are alone
Copito de nieve de Barcelone"
Tu verrais, faut le voir
Enrouler ses bras blancs
Contre un grand singe noir
Qui se croit son amant,
Posant pour la photo en starlette de gala
Dans ses dents en étau croquant du chocolat
Ou une demi-pomme
Copito de nieve de Barcelone
Ne ratons pas le train
Il n’aime pas attendre
Ou nous serions contraints
De remettre en septembre
La visite promise quand, finie la saison
Des petites chemises, il reste à la maison
Et n’veut plus voir personne
Copito de nieve de Barcelone