Les paroles de la chanson
« Confusions printanières »
BB Brunes
Ne pourrait-on pas écrire une loi contre les gens
Qui n’en peuvent plus de sourire contre le sens du vent?
Ne pourrait-on pas vomir un peu plus décemment
Sur le coeur inaudible des adolescents?
Je n’en peux plus de vivre notre anéantissement
Trop blasé des histoires qui ne sonnent jamais vraiment
Je m’en fous mais je me casse
Si tu pleures, c’est marrant
Le bonheur sans histoire, ça me paraît très chiant
Mon amie est allée cracher contre le vent
Dépouillées, dépouillées furent toutes ses dents
Ton amour s’effondrait
Le vent ne m’en voudra pas
D’effacer, d’effacer ce qu’il reste de toi
Mais à force d’y croire, on finirait par vraiment
S’oublier, s’oublier un peu plus calmement
Bien trop peur de me livrer
Même dans tes soupirs
Je bois trop, je m’abstiens
Mais ne veux pas partir
Ton sourire, ton sourire
Mais qui de nous deux prend ça?
je te quitte pour un monde, pour mieux pleurer sans ta voix
Je préfère m’isoler
Car au moins, moi, je pense
Notions de liberté, illustres condoléances
Mon amie est allée cracher contre le temps
Cruauté, cruauté me chante calmement
Mon amour s’effondrait
Le vent ne m’en voudra pas
D’effacer, d’effacer ce qu’il ravive parfois
Je n’entends plus vraiment
Crier encore et encore
Mon coeur pleurnichant
Mais qu’est-ce qu’on est mieux dehors!
Quelques ordures, quelques méandres
Excusons-nous les guerres,
Celles qui ne pardonnent pas?
Esquissons-nous les fièvres de ma mégalomania?
Ecorchons-nous les coeurs
Sans attendre le grand froid?
Les remords, la douleur ne seront plus de nos lois
Mais toi, t’as l’air si fière
De crever au combat
Mais toi, t’as l’air si fière
Mais toi, t’as pas l’air comme ça
Qui n’en peuvent plus de sourire contre le sens du vent?
Ne pourrait-on pas vomir un peu plus décemment
Sur le coeur inaudible des adolescents?
Je n’en peux plus de vivre notre anéantissement
Trop blasé des histoires qui ne sonnent jamais vraiment
Je m’en fous mais je me casse
Si tu pleures, c’est marrant
Le bonheur sans histoire, ça me paraît très chiant
Mon amie est allée cracher contre le vent
Dépouillées, dépouillées furent toutes ses dents
Ton amour s’effondrait
Le vent ne m’en voudra pas
D’effacer, d’effacer ce qu’il reste de toi
Mais à force d’y croire, on finirait par vraiment
S’oublier, s’oublier un peu plus calmement
Bien trop peur de me livrer
Même dans tes soupirs
Je bois trop, je m’abstiens
Mais ne veux pas partir
Ton sourire, ton sourire
Mais qui de nous deux prend ça?
je te quitte pour un monde, pour mieux pleurer sans ta voix
Je préfère m’isoler
Car au moins, moi, je pense
Notions de liberté, illustres condoléances
Mon amie est allée cracher contre le temps
Cruauté, cruauté me chante calmement
Mon amour s’effondrait
Le vent ne m’en voudra pas
D’effacer, d’effacer ce qu’il ravive parfois
Je n’entends plus vraiment
Crier encore et encore
Mon coeur pleurnichant
Mais qu’est-ce qu’on est mieux dehors!
Quelques ordures, quelques méandres
Excusons-nous les guerres,
Celles qui ne pardonnent pas?
Esquissons-nous les fièvres de ma mégalomania?
Ecorchons-nous les coeurs
Sans attendre le grand froid?
Les remords, la douleur ne seront plus de nos lois
Mais toi, t’as l’air si fière
De crever au combat
Mais toi, t’as l’air si fière
Mais toi, t’as pas l’air comme ça