Les paroles de la chanson
« Concerto pour arnould »
Maurane
Et là au piano, c’est lui, c’est celui-là
Je vous le dis, c’est celui-là, je vous le dis, c’est celui-là
Je vous le dis, c’est lui, c’est lui, je vous le dis
C’est sûr que c’est bien lui
Puisque je vous le dis, et maintenant
Vraiment, ça suffit maintenant
De douter de tout, de tout, tout l’ temps
Je sais c’ que je dis
Je dis toujours ce que j’ai à dire même si
Vous pensez qu’Arnould est pharmacien
Non, non, il n’en est rien
Y a pas doute, il est musicien
Dites-moi le contraire
Jetez-moi la pierre
Allez donc jusqu’au bout
Rouez-moi de coups
L’entendez-vous, celui qui joue?
Il est peut-être derrière vous, le saviez-vous?
Vous le saviez!
Toudou... Dou... C’est le clavier
Tou dou dou dou, qu’il est doué
Toudoudou... Qu’il est doué... Qu’il est doué
Et je ne le vous dirai jamais assez
Il est l’individu, l’individu
Le plus têtu mais assidu
Jamais imbu, tout détendu
Impromptu mais toujours pointu
Et tant ému dans le salut
Turlutu tu tu tu tu tu... Dans le salut, dans le salut
Quand il salue... Tout ému
Il a des yeux et des cheveux
Et puis des pieds et des souliers
C’est plus facile pour marcher que des balais
Balaye en musique
Carillonne, tambourine, tintamarre, c’est joli
Jamais une fuite
Jamais une fausse note, jamais une anomalie
C’est vrai
Et, tant que j’y pense,
Laissez-moi vous présenter monsieur piano
Si vieux mais si beau
Nous l’avons trouvé un beau matin
Entre une Fender et un clavecin
Il ignorait tout du destin
Il a croisé notre chemin
Tous les deux, à bras ouverts, on a dit oui
Il a dit oui mais surtout
N’allez pas penser qu’il est marteau
Dans ses fortissimo
Il est tout simplement le piano
Non, non, c’est pas fini...
Restez, je vous prie
Voulez-vous un café ou un cassoulet?
Il doit me rester du déca
Du crocodile aux petits pois
Ce n’est pas gras
Des après-ski, un répondeur
Deux trois radis et quelques fleurs
Parlons de tout, parlons de rien
Devenons fous, serrons les poings!
Jean-Sébastien, c’est un grand moment du rock
Et ça vous prend dans les mollets dans les chevilles
C’est pas du toc!
Non, non, non, non... C’est pas du toc
J’aime tellement Jean-Sébastien que je m’égare
J’allais oublier la guitare...
Comment aurais-je été fichue de la laisser dans le placard?
Un chasseur sachant chasser sans son chien est-il un bon chasseur?
Qui m’a demandé ça un jour? Je crois bien que c’était ma sœur
Et patati, c’est sympathique, tique tique tique
C’est frénétique, tique tique tique
Très artistique, tique tique tique
La poésie, dans la famille. Quelle smala!
Ça continue, ça continue, y en a encore
Y a des meilleures et puis des pires
Ça vous poursuit, ça colle au corps
C’est un défi qui veut ma mort
Là, il vaudrait mieux que je respire
C’est bien beau, chanter des concertos
Pas facile d’aligner les mots
Y a pas à dire, c’est pas un cadeau
Toutes ces notes qui défilent
En casse-tête dans mon dos
C’est tellement haut!
C’est tellement haut, c’est tellement haut!
Bien trop haut
Voilà, c’est ça, la vie
Toujours faire compliqué quand tout vous semble épanoui
Voilà, c’est ça, ma vie
C’est joli à l’unisson, moi, je rajoute une harmonie
Voilà, je vous ai tout dit et là, ma foi,
C’est bientôt la fin du débat si débat il y a
On s’est rencontrés un beau matin
Entre Nougaro et Chopin
Nous nous sommes pris par la main
Ça faisait partie du destin
Réunis, les bras ouverts, on a dit oui
On a dit oui, oui, oui, oui
Qu’est-ce qu’on pourrait trouver pour la fin
Et qu’est-ce qui rime en "-in"?
Tiens... Par exemple :
Quel grand musicien!
Je vous le dis, c’est celui-là, je vous le dis, c’est celui-là
Je vous le dis, c’est lui, c’est lui, je vous le dis
C’est sûr que c’est bien lui
Puisque je vous le dis, et maintenant
Vraiment, ça suffit maintenant
De douter de tout, de tout, tout l’ temps
Je sais c’ que je dis
Je dis toujours ce que j’ai à dire même si
Vous pensez qu’Arnould est pharmacien
Non, non, il n’en est rien
Y a pas doute, il est musicien
Dites-moi le contraire
Jetez-moi la pierre
Allez donc jusqu’au bout
Rouez-moi de coups
L’entendez-vous, celui qui joue?
Il est peut-être derrière vous, le saviez-vous?
Vous le saviez!
Toudou... Dou... C’est le clavier
Tou dou dou dou, qu’il est doué
Toudoudou... Qu’il est doué... Qu’il est doué
Et je ne le vous dirai jamais assez
Il est l’individu, l’individu
Le plus têtu mais assidu
Jamais imbu, tout détendu
Impromptu mais toujours pointu
Et tant ému dans le salut
Turlutu tu tu tu tu tu... Dans le salut, dans le salut
Quand il salue... Tout ému
Il a des yeux et des cheveux
Et puis des pieds et des souliers
C’est plus facile pour marcher que des balais
Balaye en musique
Carillonne, tambourine, tintamarre, c’est joli
Jamais une fuite
Jamais une fausse note, jamais une anomalie
C’est vrai
Et, tant que j’y pense,
Laissez-moi vous présenter monsieur piano
Si vieux mais si beau
Nous l’avons trouvé un beau matin
Entre une Fender et un clavecin
Il ignorait tout du destin
Il a croisé notre chemin
Tous les deux, à bras ouverts, on a dit oui
Il a dit oui mais surtout
N’allez pas penser qu’il est marteau
Dans ses fortissimo
Il est tout simplement le piano
Non, non, c’est pas fini...
Restez, je vous prie
Voulez-vous un café ou un cassoulet?
Il doit me rester du déca
Du crocodile aux petits pois
Ce n’est pas gras
Des après-ski, un répondeur
Deux trois radis et quelques fleurs
Parlons de tout, parlons de rien
Devenons fous, serrons les poings!
Jean-Sébastien, c’est un grand moment du rock
Et ça vous prend dans les mollets dans les chevilles
C’est pas du toc!
Non, non, non, non... C’est pas du toc
J’aime tellement Jean-Sébastien que je m’égare
J’allais oublier la guitare...
Comment aurais-je été fichue de la laisser dans le placard?
Un chasseur sachant chasser sans son chien est-il un bon chasseur?
Qui m’a demandé ça un jour? Je crois bien que c’était ma sœur
Et patati, c’est sympathique, tique tique tique
C’est frénétique, tique tique tique
Très artistique, tique tique tique
La poésie, dans la famille. Quelle smala!
Ça continue, ça continue, y en a encore
Y a des meilleures et puis des pires
Ça vous poursuit, ça colle au corps
C’est un défi qui veut ma mort
Là, il vaudrait mieux que je respire
C’est bien beau, chanter des concertos
Pas facile d’aligner les mots
Y a pas à dire, c’est pas un cadeau
Toutes ces notes qui défilent
En casse-tête dans mon dos
C’est tellement haut!
C’est tellement haut, c’est tellement haut!
Bien trop haut
Voilà, c’est ça, la vie
Toujours faire compliqué quand tout vous semble épanoui
Voilà, c’est ça, ma vie
C’est joli à l’unisson, moi, je rajoute une harmonie
Voilà, je vous ai tout dit et là, ma foi,
C’est bientôt la fin du débat si débat il y a
On s’est rencontrés un beau matin
Entre Nougaro et Chopin
Nous nous sommes pris par la main
Ça faisait partie du destin
Réunis, les bras ouverts, on a dit oui
On a dit oui, oui, oui, oui
Qu’est-ce qu’on pourrait trouver pour la fin
Et qu’est-ce qui rime en "-in"?
Tiens... Par exemple :
Quel grand musicien!