Les paroles de la chanson
« Concepción »
Robert Charlebois
[Répétition] :
Elle s’appelait Concepción
Et avait besoin d’affection
Elle avait un chum en prison
Parce qu’il jouait trop bien du gun
Concepción
L’autre s’appelait Ramón
Et conduisait un gros camion
Il rôdait autour d’ la maison
En fumant un drôle de gazon
Par un soleil brûlant du Jour de l’An
Le gros Ramón fit irruption dans la maison
Tout en fumant et en crounchant des p’tits piments
Il lui ôta son caleçon
Pour lui offrir son corazón
[Répétition]
Attention... on sonne, on sonne
C’était Pistolio Cabalero,
L’autre amoureux de Concepción,
Et le roi, le grand roi des pistoleros
Qui fêtait sa libération
Il sonne, il sonne, il sonne, il sonne, il sonne, il sonne...
Toujours pas d’ réponse; il défonce
En finissant son quarante onces
Elle s’appelait Concepción
Et avait besoin d’affection
Pendant qu’elle était sous Ramón
Pistolio entra dans l’ salon...
Déception!
Il aperçut sur le divan
Le caleçon blanc et les piments
- Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! -
Et sous le hamac du balcon
- Ouille! Ouille! Ouille! Ouille! Ouille! Ouille!... Barnac! -
Le menton bien rond de Ramón
- Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! -
Pistolio n’avait pas son gun
Ramón sortit son couteau
Pistolio cassa son goulot
Ramón trouvait ça moins l’ fun
Il y eut une grande révolution
- Révolution! Révolution! Révolution! Révolution! Révolution! -
Les deux tombèrent du balcon
Et se cassèrent la colonne
Elle s’appelle Concepción
Et a grand besoin d’affection
Il ne vient plus jamais personne
Pour lui offrir son corazón
Concepción
Elle s’appelait Concepción
Et avait besoin d’affection
Elle avait un chum en prison
Parce qu’il jouait trop bien du gun
Concepción
L’autre s’appelait Ramón
Et conduisait un gros camion
Il rôdait autour d’ la maison
En fumant un drôle de gazon
Par un soleil brûlant du Jour de l’An
Le gros Ramón fit irruption dans la maison
Tout en fumant et en crounchant des p’tits piments
Il lui ôta son caleçon
Pour lui offrir son corazón
[Répétition]
Attention... on sonne, on sonne
C’était Pistolio Cabalero,
L’autre amoureux de Concepción,
Et le roi, le grand roi des pistoleros
Qui fêtait sa libération
Il sonne, il sonne, il sonne, il sonne, il sonne, il sonne...
Toujours pas d’ réponse; il défonce
En finissant son quarante onces
Elle s’appelait Concepción
Et avait besoin d’affection
Pendant qu’elle était sous Ramón
Pistolio entra dans l’ salon...
Déception!
Il aperçut sur le divan
Le caleçon blanc et les piments
- Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! -
Et sous le hamac du balcon
- Ouille! Ouille! Ouille! Ouille! Ouille! Ouille!... Barnac! -
Le menton bien rond de Ramón
- Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! Ay! -
Pistolio n’avait pas son gun
Ramón sortit son couteau
Pistolio cassa son goulot
Ramón trouvait ça moins l’ fun
Il y eut une grande révolution
- Révolution! Révolution! Révolution! Révolution! Révolution! -
Les deux tombèrent du balcon
Et se cassèrent la colonne
Elle s’appelle Concepción
Et a grand besoin d’affection
Il ne vient plus jamais personne
Pour lui offrir son corazón
Concepción