Les paroles de la chanson
« Compter les bisons »
Florent Pagny
J ai vu le dernier des mohicans
faire la manche place de Clichy
Il m’a dit tout doucement
"mon ami tu marches sur la tête,
meme si ton sort parait enviable
Est-ce que l’esprit de tes ancêtres
passe dans ton téléphone portable?"
Et j’ai gravi cette coline
J’ai contemplé l’horizon
à l’heure ou le soleil décline
Et j’ai compté les bisons
J’en tuerai quatre avant la nuit,
ça suffira pour la saison
Puis je rangerai mon fusil
et les autres grandiront
J’ai vu le dernier des Apaches,
il se fichait éperduement
d’ou était enterré sa hache.
Il m’a dit tout simplement
"mon ami cette terre est la tienne,
sans titre de propriété,
mais garde quelques graines,
de ce que tu as recolté"
Et j’ai traversé cette plaine
Le vent m’a soufflé sa chanson
le sang qui coule dans tes veines,
c’est le même que les bisons.
J’attendrai la fin de l’hiver
et je quitterai la maison,
comme j’ai toujours vu faire mon pére
Et je compterai les bisons
Je gravirai cette colline
Je contemplerai l’horizon,
à l’heure ou le soleil décline
et je compterai les bisons
J’en tuerai quatre avant la nuit,
ça suffira pour la saison
Puis je rangerai mon fusil
et les autres grandiront.
En paix jusqu’à l’année prochaine
mes fils m’accompagneront,
pour compter les bisons
mes fils m’accompagneront,
pour compter les bisons.
faire la manche place de Clichy
Il m’a dit tout doucement
"mon ami tu marches sur la tête,
meme si ton sort parait enviable
Est-ce que l’esprit de tes ancêtres
passe dans ton téléphone portable?"
Et j’ai gravi cette coline
J’ai contemplé l’horizon
à l’heure ou le soleil décline
Et j’ai compté les bisons
J’en tuerai quatre avant la nuit,
ça suffira pour la saison
Puis je rangerai mon fusil
et les autres grandiront
J’ai vu le dernier des Apaches,
il se fichait éperduement
d’ou était enterré sa hache.
Il m’a dit tout simplement
"mon ami cette terre est la tienne,
sans titre de propriété,
mais garde quelques graines,
de ce que tu as recolté"
Et j’ai traversé cette plaine
Le vent m’a soufflé sa chanson
le sang qui coule dans tes veines,
c’est le même que les bisons.
J’attendrai la fin de l’hiver
et je quitterai la maison,
comme j’ai toujours vu faire mon pére
Et je compterai les bisons
Je gravirai cette colline
Je contemplerai l’horizon,
à l’heure ou le soleil décline
et je compterai les bisons
J’en tuerai quatre avant la nuit,
ça suffira pour la saison
Puis je rangerai mon fusil
et les autres grandiront.
En paix jusqu’à l’année prochaine
mes fils m’accompagneront,
pour compter les bisons
mes fils m’accompagneront,
pour compter les bisons.