Les paroles de la chanson
« Compagnons »
Francis Lemarque
Compagnon, si ta jeunesse
Te semble un fardeau trop lourd
Si le monde entier te blesse
T’emprissonne entre ses tours
A coups de pioches et de pelles
Fais-leur des trous dans la peau
Car les murs ont des oreilles
Mais ils sont sourds comme des pots
Car les murs ont des oreilles
Mais ils sont sourds comme des pots
Compagnon, le vaste monde
S’ouvre aujourd’hui devant toi
Vas voir si la terre est ronde
Vas voir et raconte moi
Est-il vrai qu’un jour les hommes
Furent chassés du Paradis
Pour avoir croqué la pomme
En galante compagnie
Pour avoir croqué la pomme
En galante compagnie
Compagnons, dans nos bagages
Nous transportons tout en vrac
Vrai et faux double langage
Enfouis dans le même sac
Franchise ou hypocrisie
Les visages sont trompeurs
Bien fou celui qui se fie
Aux discours des bateleurs
Bien fou celui qui se fie
Aux discours des bateleurs
Compagnon, par une belle
Je fus un jour envoûté
Mon cœur jusque-là rebel
S’est laissé apprivoiser
Et depuis ce temps je garde
Sa main serrée dans ma main
Nous irons si Dieu nous garde
Jusqu’au bout du long chemin
Nous irons si Dieu nous garde
Jusqu’au bout du long chemin
Compagnons, notre jeunesse
Se faufile entre nos doigts
Mais qu’un beau matin renaissent
Les nostalgies d’autrefois
Avec elles d’un coup d’ailes
Nous retournons sur nos pas
Car jeunesse est éternelle
Tant que le cœur n’oublie pas
Car jeunesse est éternelle
Tant que le cœur n’oublie pas
Te semble un fardeau trop lourd
Si le monde entier te blesse
T’emprissonne entre ses tours
A coups de pioches et de pelles
Fais-leur des trous dans la peau
Car les murs ont des oreilles
Mais ils sont sourds comme des pots
Car les murs ont des oreilles
Mais ils sont sourds comme des pots
Compagnon, le vaste monde
S’ouvre aujourd’hui devant toi
Vas voir si la terre est ronde
Vas voir et raconte moi
Est-il vrai qu’un jour les hommes
Furent chassés du Paradis
Pour avoir croqué la pomme
En galante compagnie
Pour avoir croqué la pomme
En galante compagnie
Compagnons, dans nos bagages
Nous transportons tout en vrac
Vrai et faux double langage
Enfouis dans le même sac
Franchise ou hypocrisie
Les visages sont trompeurs
Bien fou celui qui se fie
Aux discours des bateleurs
Bien fou celui qui se fie
Aux discours des bateleurs
Compagnon, par une belle
Je fus un jour envoûté
Mon cœur jusque-là rebel
S’est laissé apprivoiser
Et depuis ce temps je garde
Sa main serrée dans ma main
Nous irons si Dieu nous garde
Jusqu’au bout du long chemin
Nous irons si Dieu nous garde
Jusqu’au bout du long chemin
Compagnons, notre jeunesse
Se faufile entre nos doigts
Mais qu’un beau matin renaissent
Les nostalgies d’autrefois
Avec elles d’un coup d’ailes
Nous retournons sur nos pas
Car jeunesse est éternelle
Tant que le cœur n’oublie pas
Car jeunesse est éternelle
Tant que le cœur n’oublie pas