Les paroles de la chanson
« Comme une valse lente »
Daniel Seff
Un jour, ça commence
En toute innocence
Les yeux à peine ouverts
Des femmes se penchent
Sur mes charmes mal étanches
J’ai la tête à l’envers
Et depuis je danse
Comme une valse lente
Puis, tout se précise
L’attrait et l’emprise
Des baisers sur mes joues
Une cité de femmes
S’empare de mes drames
Alors qu’à peine debout
Je danse avec elles
Comme une valse lente
Je danse, je danse encore
Cœur à cœur, corps à corps
Des moments qui m’enchantent
Quelques passions troublantes
Dans un parfait accord
Harmonies lancinantes
Que cette valse lente
Et vient en cortège
L’Œuvre des grands Classiques
Enfin qui s’accomplit
Des sentiments intenses
Des désirs sortilèges
À mes sens interdits
En transe et qui se dansent
Comme une valse lente
Je danse, je danse encore
Cœur à cœur, corps à corps
Quelques passions brûlantes
Quelques liaisons troublantes
Dans un parfait accord
Harmonies lancinantes
Que cette valse lente
Enfin, tout s’explique
Quand on croit comprendre
Mais qu’on a rien appris
Du mystère des femmes
L’emprise de leur charme
Et l’amour qui s’ensuit
Et qu’elles nous donnent à prendre
Et qu’elles laissent à la vie
Et qu’elles laissent à la vie
En toute innocence
Les yeux à peine ouverts
Des femmes se penchent
Sur mes charmes mal étanches
J’ai la tête à l’envers
Et depuis je danse
Comme une valse lente
Puis, tout se précise
L’attrait et l’emprise
Des baisers sur mes joues
Une cité de femmes
S’empare de mes drames
Alors qu’à peine debout
Je danse avec elles
Comme une valse lente
Je danse, je danse encore
Cœur à cœur, corps à corps
Des moments qui m’enchantent
Quelques passions troublantes
Dans un parfait accord
Harmonies lancinantes
Que cette valse lente
Et vient en cortège
L’Œuvre des grands Classiques
Enfin qui s’accomplit
Des sentiments intenses
Des désirs sortilèges
À mes sens interdits
En transe et qui se dansent
Comme une valse lente
Je danse, je danse encore
Cœur à cœur, corps à corps
Quelques passions brûlantes
Quelques liaisons troublantes
Dans un parfait accord
Harmonies lancinantes
Que cette valse lente
Enfin, tout s’explique
Quand on croit comprendre
Mais qu’on a rien appris
Du mystère des femmes
L’emprise de leur charme
Et l’amour qui s’ensuit
Et qu’elles nous donnent à prendre
Et qu’elles laissent à la vie
Et qu’elles laissent à la vie