Les paroles de la chanson
« Comme on n'oublie pas »
William Sheller
Y a des nuits là-haut je lève la tête
Quand je ne dors pas
J’aimerais dévisser toutes ces planètes
Que je ne trouve pas
Qui changent notre vie jusqu’aux plus petits détails tout en bas
Et qui reviennent danser sur des heures blanches
Pour qu’on ne les oublie pas
T’avais même pas quatre-vingts saisons
Derrière tes pas
Moi, le vent froid qui fait les vagabonds
M’avait mis là
Et comme une balle que tu lançais toujours devant toi
Je me suis laissé ramasser un jour
Comme on n’oublie pas
Je n’ai peut-être pas toujours su bien faire
Je n’ai peut-être pas toujours été tellement clair
Mais je veux que tu saches que je te garde quand même
La meilleure part que j’ai de moi
Comme on se sort des mauvaises rivières
Je me suis sorti du temps où je vivais à l’envers
Des heures bizarres où j’étais pas moi-même
Aujourd’hui je ne sais plus pourquoi
On entend là-dessus des lumières
Quand je ne dors pas
Des avions qui s’en vont sur les mers
Et ne reviennent pas
Y a une radio qui raconte nulle part et tout bas
Des histoires comme on n’en vit plus guère
Mais qu’on n’oublie pas
Y a des nuits je voudrais que la terre s’arrête
Autour de moi
Comme quand je voyais danser toutes les comètes
Autour de toi
Y a des nuits je voudrais, je ne sais plus ce que je veux
C’est comme ça
Je donnerais tout ce que j’ai pu voir sur terre
Pour que tu m’oublies pas
Je n’ai peut-être pas toujours su bien faire
Je n’ai peut-être pas toujours été tellement clair
Mais je veux que tu saches que je te garde quand même
La meilleure part que j’ai de moi
Comme on se sort des mauvaises rivières
Je me suis sorti du temps où je vivais à l’envers
Des heures bizarres où j’étais pas moi-même
Aujourd’hui je ne sais plus pourquoi
Et pour la peine que j’ai pu te faire
Et pour la peur qui te pousse à courir les déserts
Il fallait bien que je te dise quand même
L’amour c’est pas toujours comme ça
Il fallait bien que je te dise quand même
L’amour c’est pas toujours comme ça
Quand je ne dors pas
J’aimerais dévisser toutes ces planètes
Que je ne trouve pas
Qui changent notre vie jusqu’aux plus petits détails tout en bas
Et qui reviennent danser sur des heures blanches
Pour qu’on ne les oublie pas
T’avais même pas quatre-vingts saisons
Derrière tes pas
Moi, le vent froid qui fait les vagabonds
M’avait mis là
Et comme une balle que tu lançais toujours devant toi
Je me suis laissé ramasser un jour
Comme on n’oublie pas
Je n’ai peut-être pas toujours su bien faire
Je n’ai peut-être pas toujours été tellement clair
Mais je veux que tu saches que je te garde quand même
La meilleure part que j’ai de moi
Comme on se sort des mauvaises rivières
Je me suis sorti du temps où je vivais à l’envers
Des heures bizarres où j’étais pas moi-même
Aujourd’hui je ne sais plus pourquoi
On entend là-dessus des lumières
Quand je ne dors pas
Des avions qui s’en vont sur les mers
Et ne reviennent pas
Y a une radio qui raconte nulle part et tout bas
Des histoires comme on n’en vit plus guère
Mais qu’on n’oublie pas
Y a des nuits je voudrais que la terre s’arrête
Autour de moi
Comme quand je voyais danser toutes les comètes
Autour de toi
Y a des nuits je voudrais, je ne sais plus ce que je veux
C’est comme ça
Je donnerais tout ce que j’ai pu voir sur terre
Pour que tu m’oublies pas
Je n’ai peut-être pas toujours su bien faire
Je n’ai peut-être pas toujours été tellement clair
Mais je veux que tu saches que je te garde quand même
La meilleure part que j’ai de moi
Comme on se sort des mauvaises rivières
Je me suis sorti du temps où je vivais à l’envers
Des heures bizarres où j’étais pas moi-même
Aujourd’hui je ne sais plus pourquoi
Et pour la peine que j’ai pu te faire
Et pour la peur qui te pousse à courir les déserts
Il fallait bien que je te dise quand même
L’amour c’est pas toujours comme ça
Il fallait bien que je te dise quand même
L’amour c’est pas toujours comme ça