Les paroles de la chanson
« Comme higelin »
Anne Sylvestre
Chanter la vie, chanter les autres
Chanter le triste et puis le gai
Raconter tout ce qui est nôtre
Je peux le faire et je le fais,
Chanter l’espoir ou la déprime
La guerre ou la fraternité
À l’aise avec tout ce qui rime
Je n’ai pas souvent hésité
Je peux chanter même à l’envers
Faire prendre l’été pour l’hiver
{Refrain:}
Mais comme Higelin
Comme les copains
Je me demanderai toujours
Comment faire les chansons d’amour
Y a un langage à inventer
Qui dise l’imprudence d’aimer
J’ai beau creuser, j’ai beau chercher
Je ne l’ai pas trouvé
Y a un langage à inventer
Le cœur qui bat, le cœur qui cogne
Et fait mine de s’arrêter
Tous les mensonges sans vergogne
Toutes les belles vérités
Tout ce qu’on dit quand on se trouve
Ce qu’on oublie quand on se perd
Et les tempêtes qu’on éprouve
Les arcs-en-ciel à cœur ouvert
Je m’en approche quelquefois
Les effleure du bout des doigts
{au Refrain}
Et puis, le cœur à marée basse
Et puis, le corps transi de froid
Ouvert à tous les vents qui passent
Je l’ai chanté plus d’une fois
Mais quand je me voudrais tendresse
Mais quand je me voudrais passion
Les mots s’échappent et me laissent
Ligotée dans ma déception
Je peux chanter tour ce qu’on veut
Laissez-moi juste y croire un peu
{au Refrain}
Alors, je marche à l’aveuglette
Et dans mon désert, pas à pas
Je désespère et je m’inquiète
Et si on ne m’entendait pas?
Et si on pensait que j’ignore
Les coups de cœur et de printemps
Les dix-huit ans qui brûlent encore
Et puis qui brûleront longtemps?
J’ai bien toujours comme autrefois
Un cœur qui ne s’arrête pas
{au Refrain}
J’aurais tant voulu
T’écrire
Une chanson d’amour
Chanter le triste et puis le gai
Raconter tout ce qui est nôtre
Je peux le faire et je le fais,
Chanter l’espoir ou la déprime
La guerre ou la fraternité
À l’aise avec tout ce qui rime
Je n’ai pas souvent hésité
Je peux chanter même à l’envers
Faire prendre l’été pour l’hiver
{Refrain:}
Mais comme Higelin
Comme les copains
Je me demanderai toujours
Comment faire les chansons d’amour
Y a un langage à inventer
Qui dise l’imprudence d’aimer
J’ai beau creuser, j’ai beau chercher
Je ne l’ai pas trouvé
Y a un langage à inventer
Le cœur qui bat, le cœur qui cogne
Et fait mine de s’arrêter
Tous les mensonges sans vergogne
Toutes les belles vérités
Tout ce qu’on dit quand on se trouve
Ce qu’on oublie quand on se perd
Et les tempêtes qu’on éprouve
Les arcs-en-ciel à cœur ouvert
Je m’en approche quelquefois
Les effleure du bout des doigts
{au Refrain}
Et puis, le cœur à marée basse
Et puis, le corps transi de froid
Ouvert à tous les vents qui passent
Je l’ai chanté plus d’une fois
Mais quand je me voudrais tendresse
Mais quand je me voudrais passion
Les mots s’échappent et me laissent
Ligotée dans ma déception
Je peux chanter tour ce qu’on veut
Laissez-moi juste y croire un peu
{au Refrain}
Alors, je marche à l’aveuglette
Et dans mon désert, pas à pas
Je désespère et je m’inquiète
Et si on ne m’entendait pas?
Et si on pensait que j’ignore
Les coups de cœur et de printemps
Les dix-huit ans qui brûlent encore
Et puis qui brûleront longtemps?
J’ai bien toujours comme autrefois
Un cœur qui ne s’arrête pas
{au Refrain}
J’aurais tant voulu
T’écrire
Une chanson d’amour