Les paroles de la chanson
« Comme à la guerre »
Lofofora
Lorsqu’au royaume de la peur, la terreur fait la loi, parie sur la couleur de l’empereur et du roi. Lequel sera le plus fou et lequel tombera, lequel est une marionnette et lequel lui met les doigts?
Ca ressemble à un jeu, mais des règles, y’en a pas, tant que ça les amuse, la partie continuera, tous les coups sont permis, l’embargo, l’attentat, les victimes brandiront le croissant ou la croix.
Retour à la casse départ touchez deux mille ans de haine, deux mille ans de vengeance pour les générations prochaines, des millions de martyrs, pour revenir au même, combien de héros pour enterrer le problème?
A la guerre comme à la guerre, entends grogner la colère, quand la raison dégénère, si le profit en est le nerf, prie pour un meilleur millénaire.
A la guerre comme à la guerre, entends cogner le tonnerre, la furie des sanguinaires, si le profit en est le nerf, prie pour un meilleur millénaire.
Respectables et poils généraux et chefs d’Etats se livrent à la barbarie, génocident de sang froid, se régalent de tragédies et de viandes à soldats, exaltés par le conflit trouvent les arguments de poids.
Pour attiser la foule fascinée par l’exploit du valeureux guerrier, chasseur de renégats, tous les soirs à huit heures, c’est le feuilleton du mois, seul le diable en personne sait comment ça finira.
Mais quels sont ces missiles qui sifflent sur nos têtes?
D’où viennent ces désirs de victoires, de conquêtes?
Qui tire les bénéfices? Pour qui souffle la tempête?
La mort remerciera les dealers de roquettes. Posez les armes, stoppez les larmes, sauvez votre âme
Ca ressemble à un jeu, mais des règles, y’en a pas, tant que ça les amuse, la partie continuera, tous les coups sont permis, l’embargo, l’attentat, les victimes brandiront le croissant ou la croix.
Retour à la casse départ touchez deux mille ans de haine, deux mille ans de vengeance pour les générations prochaines, des millions de martyrs, pour revenir au même, combien de héros pour enterrer le problème?
A la guerre comme à la guerre, entends grogner la colère, quand la raison dégénère, si le profit en est le nerf, prie pour un meilleur millénaire.
A la guerre comme à la guerre, entends cogner le tonnerre, la furie des sanguinaires, si le profit en est le nerf, prie pour un meilleur millénaire.
Respectables et poils généraux et chefs d’Etats se livrent à la barbarie, génocident de sang froid, se régalent de tragédies et de viandes à soldats, exaltés par le conflit trouvent les arguments de poids.
Pour attiser la foule fascinée par l’exploit du valeureux guerrier, chasseur de renégats, tous les soirs à huit heures, c’est le feuilleton du mois, seul le diable en personne sait comment ça finira.
Mais quels sont ces missiles qui sifflent sur nos têtes?
D’où viennent ces désirs de victoires, de conquêtes?
Qui tire les bénéfices? Pour qui souffle la tempête?
La mort remerciera les dealers de roquettes. Posez les armes, stoppez les larmes, sauvez votre âme