Les paroles de la chanson
« Clopin-clopant »
Henri Salvador
Je suis né avec des yeux d’ange
Et des fossettes au creux des joues
J’ai perdu mes joues et mes langes
Et j’ai cassé tous mes joujoux.
Je m’suis regardé dans un’ glace
Et j’ai vu que j’avais rêvé
Je m’suis dit : faudra bien qu’j’m’y fasse...
Tout finira par arriver...
{Refrain:}
Et je m’en vais clopin-clopant
Dans le soleil et dans le vent,
De temps en temps le cœur chancelle...
Y a des souv’nirs qui s’amoncellent...
Et je m’en vais clopin-clopant
En promenant mon cœur d’enfant...
Comme s’envole une hirondelle...
La vie s’enfuit à tire-d’aile...
Ça fait si mal au cœur d’enfant
Qui s’en va seul, clopin-clopant...
Tout l’amour que l’on a vu naître...
Tes lèvres douces, parfum de miel...
Nos deux fronts contre la fenêtre...
Nos regards perdus dans le ciel...
Le train noir hurlant dans la gare...
Le monstrueux désert des rues...
Tes mots d’adieu, tes mots bizarres...
Depuis dix mois, tu n’écris plus...
{Refrain}
Et des fossettes au creux des joues
J’ai perdu mes joues et mes langes
Et j’ai cassé tous mes joujoux.
Je m’suis regardé dans un’ glace
Et j’ai vu que j’avais rêvé
Je m’suis dit : faudra bien qu’j’m’y fasse...
Tout finira par arriver...
{Refrain:}
Et je m’en vais clopin-clopant
Dans le soleil et dans le vent,
De temps en temps le cœur chancelle...
Y a des souv’nirs qui s’amoncellent...
Et je m’en vais clopin-clopant
En promenant mon cœur d’enfant...
Comme s’envole une hirondelle...
La vie s’enfuit à tire-d’aile...
Ça fait si mal au cœur d’enfant
Qui s’en va seul, clopin-clopant...
Tout l’amour que l’on a vu naître...
Tes lèvres douces, parfum de miel...
Nos deux fronts contre la fenêtre...
Nos regards perdus dans le ciel...
Le train noir hurlant dans la gare...
Le monstrueux désert des rues...
Tes mots d’adieu, tes mots bizarres...
Depuis dix mois, tu n’écris plus...
{Refrain}