Les paroles de la chanson
« Cinquante carats »
Mouloudji
Moi, j’ai griffé d’ l’oseille, un peu comme on rigole
Et du jour au lendemain, j’ai pris cinquante carats
J’ai toujours l’impression de sortir de l’école
N’empêche que les minettes que j’ colle entre mes draps
Elles ont vite fait d’ piger que j’ tiens plus la distance
J’ leur en veux pas, note bien, seulement ça m’ fait tartir
Même le pognon, tu vois, si tu l’ fous dans la danse
Ça n’empêche pas qu’un jour tu commences à finir
Cinquante carats c’est rien, même au décarpillage
Je peux faire illusion, t’as ma parole d’honneur
Et tout le cinéma qu’on peut s’offrir au page
Ça fait trente-cinq balais que je l’ connais par cœur
Moi, j’avais ma technique, c’était la bout’ de champ’
Un p’tit coup d’ Sinatra et tirer les rideaux
Maintenant, quand j’ redescends, y faut que j’ tienne la rampe
Les minettes c’est joli mais ça fait pas d’ cadeaux
Tu m’aurais vu dans l’ temps, j’étais bourré d’oseille
Mais j’ la montrais jamais, j’ les f’sais toutes au béguin
Aujourd’hui, ça commence à s’ faire tirer l’oreille
Les p’tites Mimi-Pinson, c’est des bébés requins
Je l’avais toujours dit, Je m’ rangerai des voitures
Quand j’aurai mon tas de briques et mes cinquante carats
Et ben, maintenant ça y est, la seule chose qui soit sûre
C’est que la vie est belle et qu’on f’ra ce qu’on pourra
Et du jour au lendemain, j’ai pris cinquante carats
J’ai toujours l’impression de sortir de l’école
N’empêche que les minettes que j’ colle entre mes draps
Elles ont vite fait d’ piger que j’ tiens plus la distance
J’ leur en veux pas, note bien, seulement ça m’ fait tartir
Même le pognon, tu vois, si tu l’ fous dans la danse
Ça n’empêche pas qu’un jour tu commences à finir
Cinquante carats c’est rien, même au décarpillage
Je peux faire illusion, t’as ma parole d’honneur
Et tout le cinéma qu’on peut s’offrir au page
Ça fait trente-cinq balais que je l’ connais par cœur
Moi, j’avais ma technique, c’était la bout’ de champ’
Un p’tit coup d’ Sinatra et tirer les rideaux
Maintenant, quand j’ redescends, y faut que j’ tienne la rampe
Les minettes c’est joli mais ça fait pas d’ cadeaux
Tu m’aurais vu dans l’ temps, j’étais bourré d’oseille
Mais j’ la montrais jamais, j’ les f’sais toutes au béguin
Aujourd’hui, ça commence à s’ faire tirer l’oreille
Les p’tites Mimi-Pinson, c’est des bébés requins
Je l’avais toujours dit, Je m’ rangerai des voitures
Quand j’aurai mon tas de briques et mes cinquante carats
Et ben, maintenant ça y est, la seule chose qui soit sûre
C’est que la vie est belle et qu’on f’ra ce qu’on pourra
