Les paroles de la chanson
« Christiansen »
France Gall
Il était venu de son pays de neige
Tout droit vers le Sud, sans presque s’arrêter
Mon Dieu que c’est loin, que c’est loin de la Norvège
La Méditerranée
C’était ses yeux verts, et c’était sa guitare
Qui avaient payé ce voyage de fou
Quand il en jouait, en lui offrait à boire
On lui donnait des sous
Christiansen
Il savait quelques mots de mauvais français
Christiansen
Il savait quelques mots de mauvais anglais
Et pourtant, je comprenais bien
Même quand il ne disait rien
Christiansen
Le jour où j’irai le rejoindre en Norvège
Je reconnaîtrai cette maison d’Oslo
Et ce vieux traîneau qu’il lançait sur la neige
Comme on lance un bateau
Je reconnaîtrai la fameuse Christine
Dont il me parlait pour me faire enrager
Je ne l’aime pas cette jolie cousine
Elle l’a trop aimé
Christiansen
Il dormait sur la plage entre deux rochers
Christiansen
S’il mangeait quelques fois, c’est que j’y pensais
Et pourtant, il était heureux, oui vraiment il était heureux
Christiansen
Il est repartis vers son pays de neige
Et la plage d’or où l’on s’est tant baignés
A le sable gris, des plages de Norvège
Il a tout emporté
Pour me le redonner
Quand je le reverrai
Tout droit vers le Sud, sans presque s’arrêter
Mon Dieu que c’est loin, que c’est loin de la Norvège
La Méditerranée
C’était ses yeux verts, et c’était sa guitare
Qui avaient payé ce voyage de fou
Quand il en jouait, en lui offrait à boire
On lui donnait des sous
Christiansen
Il savait quelques mots de mauvais français
Christiansen
Il savait quelques mots de mauvais anglais
Et pourtant, je comprenais bien
Même quand il ne disait rien
Christiansen
Le jour où j’irai le rejoindre en Norvège
Je reconnaîtrai cette maison d’Oslo
Et ce vieux traîneau qu’il lançait sur la neige
Comme on lance un bateau
Je reconnaîtrai la fameuse Christine
Dont il me parlait pour me faire enrager
Je ne l’aime pas cette jolie cousine
Elle l’a trop aimé
Christiansen
Il dormait sur la plage entre deux rochers
Christiansen
S’il mangeait quelques fois, c’est que j’y pensais
Et pourtant, il était heureux, oui vraiment il était heureux
Christiansen
Il est repartis vers son pays de neige
Et la plage d’or où l’on s’est tant baignés
A le sable gris, des plages de Norvège
Il a tout emporté
Pour me le redonner
Quand je le reverrai