Les paroles de la chanson
« Chorale en santerre »
Jean-François Battez
Non les gens du Santerre ne sont pas des gens sans terre
Eux ils ont un pays, pays plein de lumière
Pays haut en couleurs, pays plein de saveurs
Où la joie, le bonheur, te font battre le cœur
Quand tu entres en Santerre, descendant par le nord
La vallée de la Somme, te sourit tout d’abord
Sur le flot des étangs qu’engendre la rivière
C’est un gué qui t’attend vers un autre univers
Puis, passé les vallées, tu peux toucher le ciel
Qu’un pêcheur a rêvé aux miroirs d’eaux tranquilles
Sur un larris grimpé, tu t’accroche aux nuages
Qui te posent apaisé en d’autres paysages
Non les gens du Santerre
La Montagne de Frise et puis vient le plateau
Où la terre est plus riche que l’homme sur sont dos
Là où les champs, au loin, se marient l’horizon
Pour une récolte au moins et pas moins par saison
Aux talus des chemins, guettes donc, essemé
Ame des temps lointains et mémoire du passé
Brin de chanvre, d’avoine, de houblon et de seigle
Qui volent à l’aubépine une place au soleil
Non les gens du Santerre
Mais il n’est qu’une fleur pour dire le souvenir
Le Coquelicot rieur que tu pourras cueillir
Comme aux champs du passé, comme aux champs des batailles
Les soldats s’en faisaient une douce médaille
Et voilà, sur les blés, les clochers des villages
Les toits que tu espères, dans le frais des bocages
Mille et un pigeonniers d’où se sont envolés
La joie en liberté de la paix retrouvée
Non les gens du Santerre
Quoi de mieux qu’une chorale pour chanter ces merveilles
Ces beautés du lever au coucher du soleil
Vois ce grand chœur d’amis, amoureux de sa terre
C’est la voix, l’harmonie, d’une chorale en Santerre
Eux ils ont un pays, pays plein de lumière
Pays haut en couleurs, pays plein de saveurs
Où la joie, le bonheur, te font battre le cœur
Quand tu entres en Santerre, descendant par le nord
La vallée de la Somme, te sourit tout d’abord
Sur le flot des étangs qu’engendre la rivière
C’est un gué qui t’attend vers un autre univers
Puis, passé les vallées, tu peux toucher le ciel
Qu’un pêcheur a rêvé aux miroirs d’eaux tranquilles
Sur un larris grimpé, tu t’accroche aux nuages
Qui te posent apaisé en d’autres paysages
Non les gens du Santerre
La Montagne de Frise et puis vient le plateau
Où la terre est plus riche que l’homme sur sont dos
Là où les champs, au loin, se marient l’horizon
Pour une récolte au moins et pas moins par saison
Aux talus des chemins, guettes donc, essemé
Ame des temps lointains et mémoire du passé
Brin de chanvre, d’avoine, de houblon et de seigle
Qui volent à l’aubépine une place au soleil
Non les gens du Santerre
Mais il n’est qu’une fleur pour dire le souvenir
Le Coquelicot rieur que tu pourras cueillir
Comme aux champs du passé, comme aux champs des batailles
Les soldats s’en faisaient une douce médaille
Et voilà, sur les blés, les clochers des villages
Les toits que tu espères, dans le frais des bocages
Mille et un pigeonniers d’où se sont envolés
La joie en liberté de la paix retrouvée
Non les gens du Santerre
Quoi de mieux qu’une chorale pour chanter ces merveilles
Ces beautés du lever au coucher du soleil
Vois ce grand chœur d’amis, amoureux de sa terre
C’est la voix, l’harmonie, d’une chorale en Santerre
