Les paroles de la chanson
« Chienne »
Choum
Chienne,
C’est un mot pour celle qui est toujours à la traîne
Quand elle écoute Max dans le grand star-système
Un poil ou deux qui laissent entrevoir son minet
Alors je sens mon gros engin se dresser
J’ai posé mes doigts sous sa robe de pintade
A quoi me sert de goûter sa culotte crade
Quelle,
Et celui qui débroussaillera sa forêt vierge
Celui-là mérite d’avoir une énorme asperge
Ô Lucifer plutôt crever je ne veux pas
Glisser mes doigts dans la grosse pachole de Dounia
Pute,
Je l’adore parce qu’elle est constemment en rute
Elle griffe, elle mord, elle fait très bien la turlutte
Après l’amour, elle ouvre la bouche et elle éructe
Elle se la ferme quand j’lui fais boufer ma grosse flûte
Elle porte en elle des soutifs minables qui moulent
Des vieilles culottes qu’elle a taxé à la foir-fouille
Celle,
Qu’on tirait à tour de rôles dans les petits coins
Tout le monde est passé sur cette conne sauf le train
Ô mon grand choum, ô laisse moi rien qu’une fois
Mordiller le p’tit bout de jambon de Dounia
Selle,
Sa ganache donne envie d’aller à la selle
Ses belles varices sont pleines de pue qui ruissèle
Entre ses cuisses ça pue le savon de Marseille
Ca fait des grumaux et c’est Germaine qui ballaye
J’ai posé mes doigts sous sa robe de pintade
A quoi me sert de goûter sa culotte crade
Quelle,
Et celui qui débroussaillera sa forêt vierge
Celui-là mérite d’avoir une énorme asperge
Ô mon grand choum j’ai de la lymphe plein les doigts
Je ne broutrai plus la grosse pachole de Dounia
C’est un mot pour celle qui est toujours à la traîne
Quand elle écoute Max dans le grand star-système
Un poil ou deux qui laissent entrevoir son minet
Alors je sens mon gros engin se dresser
J’ai posé mes doigts sous sa robe de pintade
A quoi me sert de goûter sa culotte crade
Quelle,
Et celui qui débroussaillera sa forêt vierge
Celui-là mérite d’avoir une énorme asperge
Ô Lucifer plutôt crever je ne veux pas
Glisser mes doigts dans la grosse pachole de Dounia
Pute,
Je l’adore parce qu’elle est constemment en rute
Elle griffe, elle mord, elle fait très bien la turlutte
Après l’amour, elle ouvre la bouche et elle éructe
Elle se la ferme quand j’lui fais boufer ma grosse flûte
Elle porte en elle des soutifs minables qui moulent
Des vieilles culottes qu’elle a taxé à la foir-fouille
Celle,
Qu’on tirait à tour de rôles dans les petits coins
Tout le monde est passé sur cette conne sauf le train
Ô mon grand choum, ô laisse moi rien qu’une fois
Mordiller le p’tit bout de jambon de Dounia
Selle,
Sa ganache donne envie d’aller à la selle
Ses belles varices sont pleines de pue qui ruissèle
Entre ses cuisses ça pue le savon de Marseille
Ca fait des grumaux et c’est Germaine qui ballaye
J’ai posé mes doigts sous sa robe de pintade
A quoi me sert de goûter sa culotte crade
Quelle,
Et celui qui débroussaillera sa forêt vierge
Celui-là mérite d’avoir une énorme asperge
Ô mon grand choum j’ai de la lymphe plein les doigts
Je ne broutrai plus la grosse pachole de Dounia